Al-Qaïda n'existe pas .c'est un mot technique qu'utilise la tribu pour justifier leurs vol de pétrole de pays musulmans en exterminant sa population.
Le grossissement démesuré du phénomène Al-Qaïda permet au pouvoir américain de présenter régulièrement à l'opinion mondiale crédule un seul et même ennemi ayant des ramifications et des soutiens dans tous les pays "voyous" ou en passe de le devenir. Pourquoi faut-il bombarder l'Afghanistan ? Parce que WTC = Al-Qaïda = Talibans. Pourquoi bombarder l'Irak ? Parce que Bali = Al-Qaïda = Saddam. Et demain et après-demain et plus tard encore, l'increvable et mythique Al-Qaïda devra encore et toujours porter la responsabilité de nouveaux carnages auxquels il conviendra de riposter par de nouveaux bombardements. Jusqu'à ce que l'opinion comprenne, ou jusqu'à ce qu'il soit trop tard pour stopper ce qui est peut-être déjà la troisième guerre mondiale.
Un an après l'attentat de New York, le professeur norvégien Johan Galtung, directeur du Réseau Transcend pour la paix et le développement, déclarait dans une interview au magazine allemand Der Spiegel : "A mon avis, Al-Qaïda est une fiction née à Washington, une projection tout à fait typique des vues du Pentagone. Lorsqu'il y a un ennemi, il doit correspondre à l'idée exacte que s'en font les stratèges ministériels : structuré comme leur propre administration, doté d'énormes moyens financiers et dirigé par une hiérarchie claire et précise dans ses moindres détails. La représentation occidentale de cette organisation est complètement fausse... En fait, nous avons tout simplement affaire à des cellules indépendantes mues par une foi commune."
Adam Curtis, auteur d'un documentaire présenté à la BBC (The Power of Nightmares), confirme qu'il n'y a ni réseau terroriste international, ni membres, ni chef, ni cellules dormantes, ni stratégie d'ensemble : The making of the terror myth.
Does al-Qaeda exist ? par Brendan O'Neill. (Poser la question, c'est déjà y répondre.)
Pour Pierre-Henri Bunel, qui se présente lui-même comme un ancien du Renseignement militaire, Al-Qaïda est tout simplement un fantasme américain. Le mot, qui signifie base en arabe, désignait à l'origine la base de données informatiques de l'Organisation de la Conférence Islamique. Dans un but de désinformation, les services secrets US ont traduit le terme parbase terroriste. Le zèle des politiciens et des journalistes a fait le reste - détails.
Une autre explication de l'origine du mot Al-Qaïda, fournie par le Dr Saad Al-Fagih dans une interview à la chaîne de télévision publique américaine PBS.
Comme le fait remarquer le Réseau Voltaire, début décembre 2003 : "Le président d'un comité d'experts antiterroristes de l'ONU, Michael Chandler, a présenté son rapport annuel sur la traque d'Al-Qaïda. [...] La véritable information de ce rapport, est que sur 191 Etats membres de l'ONU, 108 ont refusé de fournir des informations sur Al-Qaïda. Ils sont 108 à déclarer ne jamais avoir observé sur leur territoire quoi que ce soit qui valide l'existence d'Al-Qaïda et ne pas se sentir concernés par cette prétendue menace planétaire."
Propagande américaine et "guerre contre le terrorisme" : Who is Abu Musab Al-Zarqawi ? - un article de Michel Chossudovsky (professeur à l'Université d'Ottawa) sur le nouveau croque-mitaine lancé par la CIA et présenté par la presse comme le "bras droit de Ben Laden".
"Al-Qaïda n'existe pas, Zarkaoui non plus", déclare en mai 2005 Richard Labévière, éditorialiste de RFI - Radio France Internationale (sans doute plus pour très longtemps*).
* Labévière sera licencié par Radio FranceInternationale Israélienne en août 2008.
Un article de Thierry Messan (Réseau Voltaire - juillet 2007) : Al Qaïda en Irak : faut-il croire George Bush ou ses généraux ?
"Alors que le président Bush met en garde ses concitoyens contre le danger 'd'Al-Qaïda en Irak' qui formerait des cellules pour attaquer les États-Unis, des officiers supérieurs états-uniens ont admis que cette organisation n'existait pas. Les généraux Casey et Kimmitt ont reconnu qu'Al-Zarkaoui était une fabrication de leurs services de guerre psychologique et le général Bergner a déclaré que son successeur, Al-Baghdadi, était un acteur."
Le grossissement démesuré du phénomène Al-Qaïda permet au pouvoir américain de présenter régulièrement à l'opinion mondiale crédule un seul et même ennemi ayant des ramifications et des soutiens dans tous les pays "voyous" ou en passe de le devenir. Pourquoi faut-il bombarder l'Afghanistan ? Parce que WTC = Al-Qaïda = Talibans. Pourquoi bombarder l'Irak ? Parce que Bali = Al-Qaïda = Saddam. Et demain et après-demain et plus tard encore, l'increvable et mythique Al-Qaïda devra encore et toujours porter la responsabilité de nouveaux carnages auxquels il conviendra de riposter par de nouveaux bombardements. Jusqu'à ce que l'opinion comprenne, ou jusqu'à ce qu'il soit trop tard pour stopper ce qui est peut-être déjà la troisième guerre mondiale.
Un an après l'attentat de New York, le professeur norvégien Johan Galtung, directeur du Réseau Transcend pour la paix et le développement, déclarait dans une interview au magazine allemand Der Spiegel : "A mon avis, Al-Qaïda est une fiction née à Washington, une projection tout à fait typique des vues du Pentagone. Lorsqu'il y a un ennemi, il doit correspondre à l'idée exacte que s'en font les stratèges ministériels : structuré comme leur propre administration, doté d'énormes moyens financiers et dirigé par une hiérarchie claire et précise dans ses moindres détails. La représentation occidentale de cette organisation est complètement fausse... En fait, nous avons tout simplement affaire à des cellules indépendantes mues par une foi commune."
Adam Curtis, auteur d'un documentaire présenté à la BBC (The Power of Nightmares), confirme qu'il n'y a ni réseau terroriste international, ni membres, ni chef, ni cellules dormantes, ni stratégie d'ensemble : The making of the terror myth.
Does al-Qaeda exist ? par Brendan O'Neill. (Poser la question, c'est déjà y répondre.)
Pour Pierre-Henri Bunel, qui se présente lui-même comme un ancien du Renseignement militaire, Al-Qaïda est tout simplement un fantasme américain. Le mot, qui signifie base en arabe, désignait à l'origine la base de données informatiques de l'Organisation de la Conférence Islamique. Dans un but de désinformation, les services secrets US ont traduit le terme parbase terroriste. Le zèle des politiciens et des journalistes a fait le reste - détails.
Comme le fait remarquer le Réseau Voltaire, début décembre 2003 : "Le président d'un comité d'experts antiterroristes de l'ONU, Michael Chandler, a présenté son rapport annuel sur la traque d'Al-Qaïda. [...] La véritable information de ce rapport, est que sur 191 Etats membres de l'ONU, 108 ont refusé de fournir des informations sur Al-Qaïda. Ils sont 108 à déclarer ne jamais avoir observé sur leur territoire quoi que ce soit qui valide l'existence d'Al-Qaïda et ne pas se sentir concernés par cette prétendue menace planétaire."
Propagande américaine et "guerre contre le terrorisme" : Who is Abu Musab Al-Zarqawi ? - un article de Michel Chossudovsky (professeur à l'Université d'Ottawa) sur le nouveau croque-mitaine lancé par la CIA et présenté par la presse comme le "bras droit de Ben Laden".
"Al-Qaïda n'existe pas, Zarkaoui non plus", déclare en mai 2005 Richard Labévière, éditorialiste de RFI - Radio France Internationale (sans doute plus pour très longtemps*).
* Labévière sera licencié par Radio France
Un article de Thierry Messan (Réseau Voltaire - juillet 2007) : Al Qaïda en Irak : faut-il croire George Bush ou ses généraux ?
"Alors que le président Bush met en garde ses concitoyens contre le danger 'd'Al-Qaïda en Irak' qui formerait des cellules pour attaquer les États-Unis, des officiers supérieurs états-uniens ont admis que cette organisation n'existait pas. Les généraux Casey et Kimmitt ont reconnu qu'Al-Zarkaoui était une fabrication de leurs services de guerre psychologique et le général Bergner a déclaré que son successeur, Al-Baghdadi, était un acteur."
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