IRIB - La Grèce a officiellement renoncé vendredi à son projet de référendum sur le plan de sauvetage de ce pays.
La Grèce avait plongé lundi l'avenir de la zone euro dans l'incertitude et provoqué la stupeur des partenaires de l'Europe au sein du G20.
Mais entre-temps, la pression des marchés s'est accentuée sur l'Italie, troisième économie de la zone euro, quatrième emprunteur dans le monde, et principale cible des investisseurs en cas de propagation de l'incendie.
Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a donc fait appel, officiellement de son propre chef, au Fonds monétaire international (FMI) pour une "vérification publique" trimestrielle de la mise en œuvre des mesures anticrises de l'Italie.
"Le problème", c'est "un manque de crédibilité des mesures qui ont été annoncées", a lancé la directrice générale du FMI Christine Lagarde pour justifier le rôle de son institution.
Plus largement, les dirigeants des pays du G20, qui pèsent 85% de l'économie mondiale, ont examiné les moyens de renforcer les pare-feu indispensables pour éviter la contagion de cette crise de la dette qui mine l'Europe depuis près de deux ans.
Le G20 s'est ainsi engagé à "faire en sorte que des ressources supplémentaires puissent être mobilisées rapidement" par le FMI, selon la déclaration finale du sommet.
La Grèce avait plongé lundi l'avenir de la zone euro dans l'incertitude et provoqué la stupeur des partenaires de l'Europe au sein du G20.
Mais entre-temps, la pression des marchés s'est accentuée sur l'Italie, troisième économie de la zone euro, quatrième emprunteur dans le monde, et principale cible des investisseurs en cas de propagation de l'incendie.
Le chef du gouvernement italien Silvio Berlusconi a donc fait appel, officiellement de son propre chef, au Fonds monétaire international (FMI) pour une "vérification publique" trimestrielle de la mise en œuvre des mesures anticrises de l'Italie.
"Le problème", c'est "un manque de crédibilité des mesures qui ont été annoncées", a lancé la directrice générale du FMI Christine Lagarde pour justifier le rôle de son institution.
Plus largement, les dirigeants des pays du G20, qui pèsent 85% de l'économie mondiale, ont examiné les moyens de renforcer les pare-feu indispensables pour éviter la contagion de cette crise de la dette qui mine l'Europe depuis près de deux ans.
Le G20 s'est ainsi engagé à "faire en sorte que des ressources supplémentaires puissent être mobilisées rapidement" par le FMI, selon la déclaration finale du sommet.
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