vendredi 25 novembre 2011

Putsch de Wall Street sur l’Eurozone.


«Le pouvoir des financiers tyrannise la nation en temps de paix et conspire contre elle dans les temps d’adversité. Il est plus despotique qu’une monarchie, plus insolent qu’une dictature, plus égoïste qu’une bureaucratie.» Abraham Lincoln 16ème Président US
L’actualité économique et politique récente dans la zone euro marque un véritable tournant démocratique. Nous assistons effectivement à un gigantesque transfert de souveraineté des États nation au profit de l’oligarchie financière et ce dans l’indifférence quasi général des peuples voisins. (1)
 Sommes nous assez naïf au point de penser que le tsunami financier des dettes publiques, qui s’abat actuellement sur nos voisins épargnera la France tel le nuage de Tchernobyl en 86?
A l’heure ou j’écris ces lignes, la dette publique de la France viens de dépasser les 1 700 milliards d’euro  et il ne se passe pas un jour sans que notre fallacieux AAA ne soit menacé et attaqué ! (il ne fait aucun doute que les jours du triple A français sont comptés)
En comparaison, la dette Grec s’élevait «seulement» à 350 milliards et déjà en Septembre 2007, François FILLON sur un ton désabusé nous prévenait officiellement :
Et alors ?
«Rien de nouveau sous le soleil» (Ecclésiaste,Livre 1-9)
 me diriez vous…
 Vous n’auriez pas tort sur le fond tant cela fait plus de 30 ans que les comptes de l’état sont en déficit chronique grave.
On a sournoisement voulu nous faire croire que tout celà était dû au train de vie des peuples européens trop élevé, soit disant que nous vivions au dessus de nos moyens (2),que cela était dû à des prestations sociales trop élevées ou encore à un secteur publique trop archaïque.  Et fianlement une mauvaise gestion des différents gouvernements successifs…
Vision des choses pratique afin de mettre dos à dos les populations : les pauvres contre les riches et le secteur publique contre le secteur privé. Diviser pour mieux régner, procédé bien connu mais tellement efficace inspiré du Ordo Ab Chao.
Ce que les médias et les politiciens de tout bords ne vous dirons jamais mais qui est la vérité, c’est que : C’est la loi Rothschild qui est la cause de l’endettement de la France.
 
Loi scélérate, privant du pouvoir régalien de battre monnaie aux nations sans intérêts. Loi datant de Janvier 1973 et c’est naturellement et mathématiquement à partir de cette date que la dette en France s’est installé.
Les mêmes qui ont créés ce problème sont les mêmes qui aujourd’hui sont appelé à la rescousse en «sauveurs» tel des pompiers pyromanes. (3)
« Lorsqu’un gouvernement est dépendant des banquiers pour l’argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. [...] L’argent n’a pas de patrie; les financiers n’ont pas de patriotisme et n’ont pas de décence; leur unique objectif est le gain. » 

Napoléon Bonaparte (1769-1821), Empereur Français


Le très officiel Daily Telegraph du 19 septembre 2000 , nous révèle des documents déclassifiés du gouvernement américain montrent que la CIA a mené une campagne dans les années cinquante et soixante visant à créer une dynamique pour la construction Européenne ! Elle a financé et dirigé le mouvement fédéraliste Européen.
Les pères fondateurs de l’Europe était en fait des agents à la solde des Banques US, influencé via des officines de la CIA implantés en Europe et financés par les fondations mondialistes et capitalistes Ford et Rockfeller.
C’est ainsi que l’on apprend qu’entre autre Robert Schuman (4) et d’autres personnalités importantes dans les origines de la construction européenne étaient «employés» par les services Américains.
Donc n’en déplaise et malgré toute la propagande officielle, la construction européenne est une idée de domination américano-sionniste au profit des banksters mondialistes.
  A la connaissance de ces informations la mise en garde prémonitoire du dernier résistant français prend tout son sens : dans son dernier livre, « Mémoires d’espoir » publié en 1970, le général De Gaulle mettait en garde les Européens et les Français contre une possible évolution technocratique d’une construction européenne réalisée contre la liberté et l’intérêt des peuples.
On comprend mieux aussi cette mystérieuse déclaration du président Mitterrand livré dans son testament politique aux Français :

« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort…apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le Monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une Guerre à mort ! » 

 Autre temps, autre mœurs… Aujourd’hui la banque opère à visage découvert. c’est bien sur la forme que nous assistons à une véritable révolution et à un tournant démocratique majeur : ils ne se cachent plus pour placer directement leurs laquais à la tête des États. Nous assistons à la consécration du pouvoir des banques sur la politique, dans le déni complet de la démocratie (démon-crassie). Bienvenu dans l’ère du despotisme financier.
Les masques tombent, et
«il y aura des pleurs et des grincements de dents»  (Mat 13:50)
Maintenant étudions de plus prés le CV des deux dérniers venu à la tête de l’Italie et de la Gréce :
Mario MONTI diplômé en économie à l’université Yale (Etats-Unis).
(Il serait judicieux de s’interroger si au passage à l’université de Yale Mario MONTI n’a pas été recruté par la société secrète des Skull&Bones qui a pignon sur le campus, véritable fraternité de la mort francmak, au même titre, que par exemple : Prescott Bush ,George H. W. Bush , George W. Bush , John Kerry et tant d’autre grosses pontes.)

MONTI a été Commissaire européen, sénateur a vie, mais surtout dès 2005 il est International Advisor pour Goldman Sachs. Depuis 2010, il est aussi Président de la section Europe à la Commission Trilatérale Il est également membre du comité de direction du groupe groupe Bilderberg.

Qu’en est il de Carolos PAPADEMOS (Papa démon?) qui vient de prendre la tête du gouvernement Grec. Il n’est pas en reste ! Familier du cercle financier international :
Vice-président de la Banque centrale Européenne jusqu’en 2010, il a auparavant été gouverneur de la banque centrale grecque. Après des études aux USA (MIT et université de Columbia), il a même débuté sa carrière dans la Fédéral Reserve Bank ! Il est aussi membre de la commission Trilatérale, la Grèce est donc également aux mains des organisations mondialistes fondées par entre autre David RockefellerHenry Kissingeret Zbigniew Brzezinski !
Leurs missions : faire adopter à la Grèce et à l’Italie les mêmes conditions d’austérités que la Troïka a déjà imposé au Portugal.

Nous sommes bel et bien passé à la vitesse supérieur du plan de domination des élites mondialistes sur le peuple et préparez vous à être « sauvés » vous aussi dans un proche futur.




(1) La stratégie de la distraction. Élément primordial du contrôle social, la stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes. La stratégie de la diversion est également indispensable pour empêcher le public de s’intéresser aux connaissances essentielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psychologie, de la neurobiologie, et de la cybernétique. « Garder l’attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle. Garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser; de retour à la ferme avec les autres animaux. » Extrait de « Armes silencieuses pour guerres tranquilles »
2) Remplacer la révolte par la culpabilité. Faire croire à l’individu qu’il est seul responsable de son malheur, à cause de l’insuffisance de son intelligence, de ses capacités, ou de ses efforts. Ainsi, au lieu de se révolter contre le système économique, l’individu s’auto-dévalue et culpabilise, ce qui engendre un état dépressif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…
(3) Créer des problèmes, puis offrir des solutions. Cette méthode est aussi appelée « problème-réaction-solution ». On crée d’abord un problème, une « situation » prévue pour susciter une certaine réaction du public, afin que celui-ci soit lui-même demandeur des mesures qu’on souhaite lui faire accepter. Par exemple: laisser se développer la violence urbaine, ou organiser des attentats sanglants, afin que le public soit demandeur de lois sécuritaires au détriment de la liberté. Ou encore : créer une crise économique pour faire accepter comme un mal nécessaire le recul des droits sociaux et le démantèlement des services publics. Extrait de «Armes silencieuses pour guerres tranquilles.»
(4) Voir l’excellent : «La Face cachée de Robert Schumann» de François Asselineau.
Autres sources : Les Banquiers prennent le pouvoir en Eurozone  (AgoraVox). Mario Monti, Papadémos et la trilaterale (lePost) et La loi Rothschild est la cause de l’endettement en france(le Grand Soir).
http://infoguerilla.fr/?p=12793

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