Parmi les gestuelles très révélatrices, la poignée de main en dit long sur la personnalité d’un individu et sur ce qu’il l’anime à l’égard d’autrui.
Ainsi, il y a la poignée de main franche, chaleureuse, mais aussi ferme, voire froide, molle, et même moite, et puis il y a l’absence de poignée de main, délibérée et déterminée, qui devient un acte politique très signifiant.
Observez bien la scène, c’était mercredi dernier, le président tunisien, Moncef Marzouki, était convié à s’exprimer sous la coupole de l’Assemblée Nationale, point d’orgue de sa visite en France, pour refonder les liens franco-tunisiens, quelque peu distendus.
LES RATES DE LA STARAC
Les poignées de main s’enchaînent, et après celle particulièrement conviviale d’Arnaud Montebourg, il y eut le refus de tendre la main de Manuel Valls. Surprise dans les rangs, les têtes se tournent, le ministre de l’Intérieur aurait-il donc la poignée de main sélective et partisane ? Quel piètre diplomate il fait là !
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