Appel en toute impunité à la haine et à la guerre contre les musulmans !!!
En remplaçant dans un texte paru il y a trois jours sur un site francophone, les mots musulmans par juifs, on aboutit véritablement à un texte dont la portée est aussi dangereuse que tous les discours qui ont initié le génocide juif...
Samedi 19 Décembre 2009
L’affaire des synagogues annonce t-elle le réveil de l’Europe
Le conservatisme helvétique évoluant, par vocation, bien plus dans les couloirs feutrés des banques que dans les confrontations brutales avec les réalités quotidiennes, l’affaire de la votation suisse contre les synagogues doit être considérée comme le signe avant coureur d’une prise de conscience nouvelle en Europe. En effet, cette réaction de la Suisse constitue la première réaction défensive d’un Etat européen face aux débordements outranciers d’un judaïsme conquérant.
Elle est porteuse de deux messages d’une importance cruciale. L’un, à l’égard de ceux qui penchés sur la moribonde Europe y vont de leurs pronostics macabres sur le temps que durera l’agonie du vieux continent en s’interrogeant sur ce que deviendra la dépouille de l’Europe, déjà dépecée entre les divers courants radicaux du judaïsme, le second message est pour les juifs eux-mêmes, leur indiquant, que les limites à la patience et au laisser faire sont atteintes.
Pour les premiers, on peut affirmer qu’ils font preuve d’une bien grande naïveté en estimant que l’Europe a perdu la guerre contre le radicalisme juif avant même que d’avoir engagé la première bataille. L’Europe, etla France , en particulier, ont d’immenses ressources qui n’ont pas encore donné. Ces moyens tactiques sont d’ordre administratif, économique, judiciaire, politique et militaire. Ils sont en attente d’une décision politique et ce n’est pas parce qu’ils ne se manifestent pas qu’ils n’existent pas.
La France ne pourra longtemps encore supporter le débordement juif. Il y va de sa survie. Et ce vieux pays est coutumier des causes perdues d’avance, que son génie est capable de retourner à son avantage. C’est une armée en haillons qui imposa à l’Europe, l’idéal républicain dont les musulmans bénéficièrent. C’est une France exsangue et honteuse qui émergea en 1945 en se préparant à devenir un satellite US.
Une vingtaine d’années plus tard, déjouant les pronostics des spécialistes, elle entrait dans le club très fermé des pays atomiques, achevait la décolonisation, devenait prospère et aidait Israël à asseoir sa puissance militaire. Ce n’est pas parce qu’elle garde, en l’occurrence, un silence équivoque qu’elle le maintiendra, foulant ainsi un idéal payé au prix du sang, au cours de son histoire. Gardons nous d’hypothéquer les réactions françaises comme si nous en maîtrisions les forces irrationnelles qui souvent les suscitent. Quand l’identité profonde et l’âme d’un pays sont atteints, nul ne peut prévoir la nature et l’ampleur de la réaction, parce qu’entrent en jeu alors des forces obscures qui relèvent du tréfonds de la nature d’un peuple.
Qu’on ne se méprenne pas Ce n’est pas parce que le 17 Juin 1940 fut une journée sans espoir que le 18 ne sut pas se sortir de cette fatalité par une initiative glorieuse que personne n’avait su prévoir. Quant à ceux à qui s’adresse le deuxième message, ce dernier exprime toute l’amertume et l’ingratitude du constat établi parla France de prendre acte que ceux qui ont bénéficié de ses lois n’ont pas jugé bon de proclamer que la Loi de la République a priorité sur le Talmud, ont eu la candeur de croire que la France s’effaçait enfin devant le cimeterre, sont allés de provocations en débordements, en invitant à l’affrontement.
Leur déconvenue sera à la mesure de leurs illusions et de leur naïveté.
La réaction du peuple suisse indique la première manifestation de la résistance européenne à l’invasion juive et prendra date dans la libération de l’Occident. On attend la suite. Il était temps !
Arnold Lagémi
--------------
Hallucinant non ?! Terrifiant, n’est-ce-pas ?... Annonciateur de faits tragiques que l’Histoire a déjà connu ; nous le craignons fortement!!!
Les déclarations d’avant guerre qui ont précipité les nations européennes dans l’apocalypse du génocide juif durant la seconde guerre mondiale n’étaient pas moins haineuses et incitatrices aux mesures répressives (qui ont conduit à l’extermination des juifs) que ce texte en question.
Ce texte, écrit par Arnold Lagémi, a été publié le 16 décembre 2009 sur le site terredisrael.com sous le titre L’affaire des minarets annonce t-elle le réveil de l’Europe nous l’avons publié en l’état, ALA SEULE DIFFERENCE NOTOIRE, que nous avons pris soin de remplacer tous les termes se rattachant aux musulmans et à l’islam par des termes se rattachant aux juifs et au judaïsme ; ces derniers étant notifiés en rouge.
Voici le texte original
L’affaire des minarets annonce t-elle le réveil de l’Europe ? Par Arnold Lagémi
Le conservatisme helvétique évoluant, par vocation, bien plus dans les couloirs feutrés des banques que dans les confrontations brutales avec les réalités quotidiennes, l’affaire de la votation suisse contre les minarets doit être considérée comme le signe avant coureur d’une prise de conscience nouvelle en Europe. En effet, cette réaction dela Suisse constitue la première réaction défensive d’un Etat européen face aux débordements outranciers d’un islamisme conquérant.
Elle est porteuse de deux messages d’une importance cruciale. L’un, à l’égard de ceux qui penchés sur la moribonde Europe y vont de leurs pronostics macabres sur le temps que durera l’agonie du vieux continent en s’interrogeant sur ce que deviendra la dépouille de l’Europe, déjà dépecée entre les divers courants radicaux de l’Islam, le second message est pour les islamistes eux-mêmes, leur indiquant, que les limites à la patience et au laisser faire sont atteintes.
Pour les premiers, on peut affirmer qu’ils font preuve d’une bien grande naïveté en estimant que l’Europe a perdu la guerre contre le radicalisme islamique avant même que d’avoir engagé la première bataille. L’Europe, etla France , en particulier, ont d’immenses ressources qui n’ont pas encore donné. Ces moyens tactiques sont d’ordre administratif, économique, judiciaire, politique et militaire. Ils sont en attente d’une décision politique et ce n’est pas parce qu’ils ne se manifestent pas qu’ils n’existent pas.
La France ne pourra longtemps encore supporter le débordement islamique. Il y va de sa survie. Et ce vieux pays est coutumier des causes perdues d’avance, que son génie est capable de retourner à son avantage. C’est une armée en haillons qui imposa à l’Europe, l’idéal républicain dont les Juifs bénéficièrent. C’est une France exsangue et honteuse qui émergea en 1945 en se préparant à devenir un satellite US.
Une vingtaine d’années plus tard, déjouant les pronostics des spécialistes, elle entrait dans le club très fermé des pays atomiques, achevait la décolonisation, devenait prospère et aidait Israël à asseoir sa puissance militaire. Ce n’est pas parce qu’elle garde, en l’occurrence, un silence équivoque qu’elle le maintiendra, foulant ainsi un idéal payé au prix du sang, au cours de son histoire. Gardons nous d’hypothéquer les réactions françaises comme si nous en maîtrisions les forces irrationnelles qui souvent les suscitent. Quand l’identité profonde et l’âme d’un pays sont atteints, nul ne peut prévoir la nature et l’ampleur de la réaction, parce qu’entrent en jeu alors des forces obscures qui relèvent du tréfonds de la nature d’un peuple.
Qu’on ne se méprenne pas Ce n’est pas parce que le 17 Juin 1940 fut une journée sans espoir que le 18 ne sut pas se sortir de cette fatalité par une initiative glorieuse que personne n’avait su prévoir. Quant à ceux à qui s’adresse le deuxième message, ce dernier exprime toute l’amertume et l’ingratitude du constat établi parla France de prendre acte que ceux qui ont bénéficié de ses lois n’ont pas jugé bon de proclamer que la Loi de la République a priorité sur la Charia , ont eu eu la candeur de croire que la France s’effaçait enfin devant le cimeterre, sont allés de provocations en débordements, en invitant à l’affrontement.
Leur déconvenue sera à la mesure de leurs illusions et de leur naïveté. La réaction du peuple suisse indique la première manifestation de la résistance européenne à l’invasion islamiste et prendra date dans la libération de l’Occident. On attend la suite. Il était temps !
Fin de l’article
Lien de l’article : http://www.terredisrael.com/wordpress/?p=15749
En procédant volontairement de la sorte, nous souhaitons déclencher une véritable prise de conscience chez nos concitoyens afin qu’ils mesurent bien l’ampleur de l’inquiétante dérive à laquelle nous sommes en train d’assister dans notre pays à tous vis-à-vis de la question de l’islam et des musulmans !
Cet article contient en effet, une succession de sous-entendus et surtout de menaces - parfaitement justifiées par leur auteur - qui sont proférées contre les musulmans puisqu’elles représentent selon lui « une manifestation de la résistance européenne » contre « le débordement islamique » qui, si elles avaient été destinées à la communauté juive (ce que personne en aucun manière ne peut souhaiter) auraient provoqué sans aucun doute dès la parution de ce texte un légitime tremblement de terre médiatique et institutionnel dans notre pays. Notons ici la problématique qui semble torturée les Français : l'existence de l'islam au sein de notre société est une offensive avérée, la plus agressive qui soit, qu'il convient naturellement d'éradiquer prestement pour le bien non seulement dela France mais de l'Europe tout entière !
Ces lignes témoignent, sans nul doute possible, que quelque chose d'extrêmement grave est en train de se produire en France et en Europe vis à vis de la question de l’islam et des musulmans. Quand on déclare avec une telle assurance que « l’identité profonde et l’âme d’un pays sont atteintes » à cause de la présence de l’islam, qu’on appelle de ses vœux une réaction du peuple et de l'Etat qui possède « les moyens tactiques (qui) sont d’ordre administratif, économique, judiciaire, politique et militaire » et qui « sont en attente d’une décision politique » pour se libérer de la menace et que « nul ne peut prévoir la nature et l’ampleur de la réaction, parce qu’entrent en jeu alors des forces obscures qui relèvent du tréfonds de la nature d’un peuple », nous constatons avec le plus grand désarroi que l’heure est grave et que la nation française doit se ressaisir au plus vite.
Que signifient ces allégations? De quel droit l'auteur peut-il laisser entendre que les Français musulmans ont violé tout ce quela France et l'Europe ont de plus profond: l'identité ? Pire encore, comment peut-il envisager de réquisitionner tous les outils démocratiques dont disposent l'Etat contre ses citoyens (faut-il rappeler que les musulmans sur notre territoire sont pour la plupart d'entre eux pleinement Français ?!)
Il ne fait aucun doute que cette inquiétante dérive est le résultat de l’abjecte politique conduite par nos gouvernants depuis ces vingt dernières années et qui connaît dans notre pays son point culminant depuis l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, l’ami déclaré et assumé des criminels de guerre sionistes, de ceux qui pratiquent quotidiennement le nettoyage ethnique du peuple palestinien, ceux qui ont montré ce dont ils étaient tragiquement capables lors de l’Holocauste de Gaza, ceux-là même qui sont soutenus dans leur politique criminelle sans cesse sur le site Terre d’Israël... Car lorsqu’on est capable de permettre à Israël « d’asseoir sa puissance militaire » pour que, décennies après décennies, celle-ci soit utilisée sauvagement contre la population civile pour pousser les survivants parmi eux à quitter la terre de Palestine, nous sommes en droit de nous demander quelle politique notre Président et son gouvernement sont capables de mettre en œuvre contre ceux qui semblent eux-mêmes de plus en plus indésirables au sein dela Nation française ?!... La question en effet se pose dangereusement...
Le processus mis en place par Nicolas Sarkozy fut le suivant :
D’abord il a déclaré clairement qu’il fallait « karchériser » les banlieues, ensuite il y a ce ministère créé de toute pièce avec pour intitulé l’odieuse accolade des termes « immigration » et « identité nationale » comme si le chef de l’Etat (puisque c’est lui qui l’a voulu) partait du postulat plus que scabreux que les immigrés ou les Français issues de l’immigration menaçaient l’identité nationale... avec ce ministère c’est la suspicion qui était donc sensée délier les liens entre les Français... mais pas n’importe quelle suspicion, celle qui devait servir à diviser le plus efficacement possible les Français parce que ressentie depuis longtemps comme la plus consensuelle et la plus efficace en France (et plus récemment dans l’ensemble de l’Europe) ; nous parlons bien sûr de la peur suscitée par l’islam et les musulmans.
En France, la légitimation de cette dérive islamophobe a connu son premier pic à partir de 2003. L’incendie allumé par les élites-pyromanes lors des pseudo-débats qui ont eu lieu dans le cadre de la commission Stasi sur les signes ostensibles religieux à l’école, ont en effet permis de libérer à partir de ce moment-là, tout à fait légalement la parole islamophobe dans notre République. Rappelez-vous les propos tenus le 24 octobre 2004, par Claude Imbert, éditorialiste au magazine Le Point sur la chaîne privée d'informations LCI : « Il faut être honnête. Moi, je suis un peu islamophobe. Cela ne me gêne pas de le dire. (...) ».
Affichage, revendications, justifications et surenchères permanentes d’un racisme viscéral à l'endroit des musulmans qui ont conduit à une insupportable banalisation de l'islamophobie derrière laquelle se dissimule en réalité bien mal la haine des populations arabo-musulmanes... Ces dernières années, celle-ci a avancé dans notre pays à l’allure de la vitesse de croisière ... c’est à intervalles réguliers, au fil des scrutins électoraux, que la parole islamophobe a connu de méprisables poussées. A chaque fois, il s’est agi pour nos candidats toutes tendances confondues - parce qu’ils n’ont jamais le moindre programme constructif à proposer aux électeurs pour l’avenir dela France - de gagner le pouvoir sur le dos de l’Arabe et du musulman grâce au drainage des précieuses voix naturellement destinées au Front National...
Et puis brusquement, il y a quelques semaines, la fabrique de la haine s’est gravement et dangereusement emballée ! La symphonie islamophobe a été savamment orchestrée par le président Sarkozy lui-même. Brice Hortefeux a ouvert le bal « Quand il y en a un (Arabe) ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes. » Tous les membres du gouvernement ont alors soutenu l’ami Brice ; les autoproclamés représentants musulmans pour le remercier de tant d’amabilité... l’ont même invité à tous les iftar de l’amitié à la fin du mois de Ramadan.... Le test était réussi, ce n’était qu’un « chambrage » dixit Fadela Amara, le genre de blague de comptoir si chère à l’identité nationale française ; le grand lynchage national anti-arabo-musulmans pouvait donc se poursuivre en toute légalité... Il a aujourd’hui comme cadre officiel, les pseudo-débats sur le voile intégral initié par le député communiste André Gerin et celui sur l’identité nationale voulu par le pyromane en chef, le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire, Eric Besson. Le résultat de la votation suisse n’a fait que se greffer sur le diktat idéologique national, déjà largement amorcé, et a eu pour conséquence d’apporter de l’eau au moulin de la haine et ce texte n’en est qu’une sinistre preuve ! Le lamentable « Moi, ce que je veux du jeune musulman, quand il est français, c'est qu'il aime son pays, c'est qu'il trouve un travail, c'est qu'il ne parle pas le verlan, qu'il ne mette pas sa casquette à l'envers» de Nadine Morano a définitivement fait comprendre à bon nombre de nos concitoyens, non tout à fait convaincus encore, que l'enjeu du pseudo-débat sur l'identité nationale était bel et bien uniquement l'islam...
Où va-t-on et que fait-on maintenant que la bête immonde est lâchée dans notre pays ? A cette question qui se pose de toute urgence, nous rappelons qu’Eric Besson avait argumenté le vendredi 4 décembre, au cours du débat autour de la question qui fâche: « Qu'est-ce qu'être français? » organisé à l'Ecole militaire, à Paris, par l'institut Montaigne un lamentable et cynique « Si elle m'échappe aujourd'hui, avec des dérapages que je déplore, je n'y peux rien ! » Demander au chef de l’Etat de jouer rapidement son rôle constitutionnel de gardien de la cohésion nationale et d’exiger sur le champ, que soit mis immédiatement un terme à ce débat ; vous n’y pensez pas ! Nicolas Sarkozy n’a-t-il pas déclaré sur Canal+ le 16 décembre dernier, et cela malgré les polémiques et les avertissements de nombreux politiques qui se sont inquiétés ces derniers jours de la dangerosité des amalgames entre identité nationale, islam et immigration, que nous étions en présence d’un « débat noble » qu’il a pourtant, une fois de plus, limiter à l'immigration!
L’unique sortie de secours maintenant - même si nous pensons que le cancer de la haine a déjà développé de graves métastases au sein de notre société - est désormais entre les mains du peuple français. Ce peuple de France qui n’est pas encore aliéné, celui qui n’a pas perdu la mémoire et qui n’a pas oublié les sinistres leçons de l’Histoire, se doit de se saisir courageusement de cette inqualifiable manœuvre de diversion qui vise à détourner la nation française des réels problèmes qui l’affaiblissent et se lever pour dire « NON ». C’est en effet tous ensembles, sans considération d’origines, de religions, de couleurs politiques que nous devons exprimer notre refus de voir s’engager notre pays dans cette voie dont l’issue sera forcément fatale. L’histoire a déjà parlé !
Car, ce que nous devons retenir comme leçon du martelage sur le concept de mémoire durant ces soixante dernières années, ce n’est pas la supériorité de certains sur les autres, mais la terrible réalité que la frontière entre la bête et l’homme est très fragile et qu’elle peut être franchie par l’humanité à chaque instant dès que la vigilance baisse et que les valeurs essentielles humaines sont transgressées. Avons-nous oublié ces images, pourtant si présentes sur nos écrans de télévision, de pogroms, de trains de la mort, de camps d’extermination qui furent autant de négation de notre humanisme ? Avons-nous oublié la vraie devise de notre identité nationale : Liberté-Egalité-Fraternité ? Sommes-nous en train de chercher à ressortir l’identité dela Bête ?!
Nelly Leboucher
Abdelhakim Sefrioui
Elle est porteuse de deux messages d’une importance cruciale. L’un, à l’égard de ceux qui penchés sur la moribonde Europe y vont de leurs pronostics macabres sur le temps que durera l’agonie du vieux continent en s’interrogeant sur ce que deviendra la dépouille de l’Europe, déjà dépecée entre les divers courants radicaux du judaïsme, le second message est pour les juifs eux-mêmes, leur indiquant, que les limites à la patience et au laisser faire sont atteintes.
Pour les premiers, on peut affirmer qu’ils font preuve d’une bien grande naïveté en estimant que l’Europe a perdu la guerre contre le radicalisme juif avant même que d’avoir engagé la première bataille. L’Europe, et
La France ne pourra longtemps encore supporter le débordement juif. Il y va de sa survie. Et ce vieux pays est coutumier des causes perdues d’avance, que son génie est capable de retourner à son avantage. C’est une armée en haillons qui imposa à l’Europe, l’idéal républicain dont les musulmans bénéficièrent. C’est une France exsangue et honteuse qui émergea en 1945 en se préparant à devenir un satellite US.
Une vingtaine d’années plus tard, déjouant les pronostics des spécialistes, elle entrait dans le club très fermé des pays atomiques, achevait la décolonisation, devenait prospère et aidait Israël à asseoir sa puissance militaire. Ce n’est pas parce qu’elle garde, en l’occurrence, un silence équivoque qu’elle le maintiendra, foulant ainsi un idéal payé au prix du sang, au cours de son histoire. Gardons nous d’hypothéquer les réactions françaises comme si nous en maîtrisions les forces irrationnelles qui souvent les suscitent. Quand l’identité profonde et l’âme d’un pays sont atteints, nul ne peut prévoir la nature et l’ampleur de la réaction, parce qu’entrent en jeu alors des forces obscures qui relèvent du tréfonds de la nature d’un peuple.
Qu’on ne se méprenne pas Ce n’est pas parce que le 17 Juin 1940 fut une journée sans espoir que le 18 ne sut pas se sortir de cette fatalité par une initiative glorieuse que personne n’avait su prévoir. Quant à ceux à qui s’adresse le deuxième message, ce dernier exprime toute l’amertume et l’ingratitude du constat établi par
Leur déconvenue sera à la mesure de leurs illusions et de leur naïveté.
La réaction du peuple suisse indique la première manifestation de la résistance européenne à l’invasion juive et prendra date dans la libération de l’Occident. On attend la suite. Il était temps !
Arnold Lagémi
--------------
Hallucinant non ?! Terrifiant, n’est-ce-pas ?... Annonciateur de faits tragiques que l’Histoire a déjà connu ; nous le craignons fortement!!!
Les déclarations d’avant guerre qui ont précipité les nations européennes dans l’apocalypse du génocide juif durant la seconde guerre mondiale n’étaient pas moins haineuses et incitatrices aux mesures répressives (qui ont conduit à l’extermination des juifs) que ce texte en question.
Ce texte, écrit par Arnold Lagémi, a été publié le 16 décembre 2009 sur le site terredisrael.com sous le titre L’affaire des minarets annonce t-elle le réveil de l’Europe nous l’avons publié en l’état, A
Voici le texte original
L’affaire des minarets annonce t-elle le réveil de l’Europe ? Par Arnold Lagémi
Le conservatisme helvétique évoluant, par vocation, bien plus dans les couloirs feutrés des banques que dans les confrontations brutales avec les réalités quotidiennes, l’affaire de la votation suisse contre les minarets doit être considérée comme le signe avant coureur d’une prise de conscience nouvelle en Europe. En effet, cette réaction de
Elle est porteuse de deux messages d’une importance cruciale. L’un, à l’égard de ceux qui penchés sur la moribonde Europe y vont de leurs pronostics macabres sur le temps que durera l’agonie du vieux continent en s’interrogeant sur ce que deviendra la dépouille de l’Europe, déjà dépecée entre les divers courants radicaux de l’Islam, le second message est pour les islamistes eux-mêmes, leur indiquant, que les limites à la patience et au laisser faire sont atteintes.
Pour les premiers, on peut affirmer qu’ils font preuve d’une bien grande naïveté en estimant que l’Europe a perdu la guerre contre le radicalisme islamique avant même que d’avoir engagé la première bataille. L’Europe, et
La France ne pourra longtemps encore supporter le débordement islamique. Il y va de sa survie. Et ce vieux pays est coutumier des causes perdues d’avance, que son génie est capable de retourner à son avantage. C’est une armée en haillons qui imposa à l’Europe, l’idéal républicain dont les Juifs bénéficièrent. C’est une France exsangue et honteuse qui émergea en 1945 en se préparant à devenir un satellite US.
Une vingtaine d’années plus tard, déjouant les pronostics des spécialistes, elle entrait dans le club très fermé des pays atomiques, achevait la décolonisation, devenait prospère et aidait Israël à asseoir sa puissance militaire. Ce n’est pas parce qu’elle garde, en l’occurrence, un silence équivoque qu’elle le maintiendra, foulant ainsi un idéal payé au prix du sang, au cours de son histoire. Gardons nous d’hypothéquer les réactions françaises comme si nous en maîtrisions les forces irrationnelles qui souvent les suscitent. Quand l’identité profonde et l’âme d’un pays sont atteints, nul ne peut prévoir la nature et l’ampleur de la réaction, parce qu’entrent en jeu alors des forces obscures qui relèvent du tréfonds de la nature d’un peuple.
Qu’on ne se méprenne pas Ce n’est pas parce que le 17 Juin 1940 fut une journée sans espoir que le 18 ne sut pas se sortir de cette fatalité par une initiative glorieuse que personne n’avait su prévoir. Quant à ceux à qui s’adresse le deuxième message, ce dernier exprime toute l’amertume et l’ingratitude du constat établi par
Leur déconvenue sera à la mesure de leurs illusions et de leur naïveté. La réaction du peuple suisse indique la première manifestation de la résistance européenne à l’invasion islamiste et prendra date dans la libération de l’Occident. On attend la suite. Il était temps !
Fin de l’article
Lien de l’article : http://www.terredisrael.com/wordpress/?p=15749
En procédant volontairement de la sorte, nous souhaitons déclencher une véritable prise de conscience chez nos concitoyens afin qu’ils mesurent bien l’ampleur de l’inquiétante dérive à laquelle nous sommes en train d’assister dans notre pays à tous vis-à-vis de la question de l’islam et des musulmans !
Cet article contient en effet, une succession de sous-entendus et surtout de menaces - parfaitement justifiées par leur auteur - qui sont proférées contre les musulmans puisqu’elles représentent selon lui « une manifestation de la résistance européenne » contre « le débordement islamique » qui, si elles avaient été destinées à la communauté juive (ce que personne en aucun manière ne peut souhaiter) auraient provoqué sans aucun doute dès la parution de ce texte un légitime tremblement de terre médiatique et institutionnel dans notre pays. Notons ici la problématique qui semble torturée les Français : l'existence de l'islam au sein de notre société est une offensive avérée, la plus agressive qui soit, qu'il convient naturellement d'éradiquer prestement pour le bien non seulement de
Ces lignes témoignent, sans nul doute possible, que quelque chose d'extrêmement grave est en train de se produire en France et en Europe vis à vis de la question de l’islam et des musulmans. Quand on déclare avec une telle assurance que « l’identité profonde et l’âme d’un pays sont atteintes » à cause de la présence de l’islam, qu’on appelle de ses vœux une réaction du peuple et de l'Etat qui possède « les moyens tactiques (qui) sont d’ordre administratif, économique, judiciaire, politique et militaire » et qui « sont en attente d’une décision politique » pour se libérer de la menace et que « nul ne peut prévoir la nature et l’ampleur de la réaction, parce qu’entrent en jeu alors des forces obscures qui relèvent du tréfonds de la nature d’un peuple », nous constatons avec le plus grand désarroi que l’heure est grave et que la nation française doit se ressaisir au plus vite.
Que signifient ces allégations? De quel droit l'auteur peut-il laisser entendre que les Français musulmans ont violé tout ce que
Il ne fait aucun doute que cette inquiétante dérive est le résultat de l’abjecte politique conduite par nos gouvernants depuis ces vingt dernières années et qui connaît dans notre pays son point culminant depuis l’arrivée au pouvoir de Nicolas Sarkozy, l’ami déclaré et assumé des criminels de guerre sionistes, de ceux qui pratiquent quotidiennement le nettoyage ethnique du peuple palestinien, ceux qui ont montré ce dont ils étaient tragiquement capables lors de l’Holocauste de Gaza, ceux-là même qui sont soutenus dans leur politique criminelle sans cesse sur le site Terre d’Israël... Car lorsqu’on est capable de permettre à Israël « d’asseoir sa puissance militaire » pour que, décennies après décennies, celle-ci soit utilisée sauvagement contre la population civile pour pousser les survivants parmi eux à quitter la terre de Palestine, nous sommes en droit de nous demander quelle politique notre Président et son gouvernement sont capables de mettre en œuvre contre ceux qui semblent eux-mêmes de plus en plus indésirables au sein de
Le processus mis en place par Nicolas Sarkozy fut le suivant :
D’abord il a déclaré clairement qu’il fallait « karchériser » les banlieues, ensuite il y a ce ministère créé de toute pièce avec pour intitulé l’odieuse accolade des termes « immigration » et « identité nationale » comme si le chef de l’Etat (puisque c’est lui qui l’a voulu) partait du postulat plus que scabreux que les immigrés ou les Français issues de l’immigration menaçaient l’identité nationale... avec ce ministère c’est la suspicion qui était donc sensée délier les liens entre les Français... mais pas n’importe quelle suspicion, celle qui devait servir à diviser le plus efficacement possible les Français parce que ressentie depuis longtemps comme la plus consensuelle et la plus efficace en France (et plus récemment dans l’ensemble de l’Europe) ; nous parlons bien sûr de la peur suscitée par l’islam et les musulmans.
En France, la légitimation de cette dérive islamophobe a connu son premier pic à partir de 2003. L’incendie allumé par les élites-pyromanes lors des pseudo-débats qui ont eu lieu dans le cadre de la commission Stasi sur les signes ostensibles religieux à l’école, ont en effet permis de libérer à partir de ce moment-là, tout à fait légalement la parole islamophobe dans notre République. Rappelez-vous les propos tenus le 24 octobre 2004, par Claude Imbert, éditorialiste au magazine Le Point sur la chaîne privée d'informations LCI : « Il faut être honnête. Moi, je suis un peu islamophobe. Cela ne me gêne pas de le dire. (...) ».
Affichage, revendications, justifications et surenchères permanentes d’un racisme viscéral à l'endroit des musulmans qui ont conduit à une insupportable banalisation de l'islamophobie derrière laquelle se dissimule en réalité bien mal la haine des populations arabo-musulmanes... Ces dernières années, celle-ci a avancé dans notre pays à l’allure de la vitesse de croisière ... c’est à intervalles réguliers, au fil des scrutins électoraux, que la parole islamophobe a connu de méprisables poussées. A chaque fois, il s’est agi pour nos candidats toutes tendances confondues - parce qu’ils n’ont jamais le moindre programme constructif à proposer aux électeurs pour l’avenir de
Et puis brusquement, il y a quelques semaines, la fabrique de la haine s’est gravement et dangereusement emballée ! La symphonie islamophobe a été savamment orchestrée par le président Sarkozy lui-même. Brice Hortefeux a ouvert le bal « Quand il y en a un (Arabe) ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes. » Tous les membres du gouvernement ont alors soutenu l’ami Brice ; les autoproclamés représentants musulmans pour le remercier de tant d’amabilité... l’ont même invité à tous les iftar de l’amitié à la fin du mois de Ramadan.... Le test était réussi, ce n’était qu’un « chambrage » dixit Fadela Amara, le genre de blague de comptoir si chère à l’identité nationale française ; le grand lynchage national anti-arabo-musulmans pouvait donc se poursuivre en toute légalité... Il a aujourd’hui comme cadre officiel, les pseudo-débats sur le voile intégral initié par le député communiste André Gerin et celui sur l’identité nationale voulu par le pyromane en chef, le ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire, Eric Besson. Le résultat de la votation suisse n’a fait que se greffer sur le diktat idéologique national, déjà largement amorcé, et a eu pour conséquence d’apporter de l’eau au moulin de la haine et ce texte n’en est qu’une sinistre preuve ! Le lamentable « Moi, ce que je veux du jeune musulman, quand il est français, c'est qu'il aime son pays, c'est qu'il trouve un travail, c'est qu'il ne parle pas le verlan, qu'il ne mette pas sa casquette à l'envers» de Nadine Morano a définitivement fait comprendre à bon nombre de nos concitoyens, non tout à fait convaincus encore, que l'enjeu du pseudo-débat sur l'identité nationale était bel et bien uniquement l'islam...
Où va-t-on et que fait-on maintenant que la bête immonde est lâchée dans notre pays ? A cette question qui se pose de toute urgence, nous rappelons qu’Eric Besson avait argumenté le vendredi 4 décembre, au cours du débat autour de la question qui fâche: « Qu'est-ce qu'être français? » organisé à l'Ecole militaire, à Paris, par l'institut Montaigne un lamentable et cynique « Si elle m'échappe aujourd'hui, avec des dérapages que je déplore, je n'y peux rien ! » Demander au chef de l’Etat de jouer rapidement son rôle constitutionnel de gardien de la cohésion nationale et d’exiger sur le champ, que soit mis immédiatement un terme à ce débat ; vous n’y pensez pas ! Nicolas Sarkozy n’a-t-il pas déclaré sur Canal+ le 16 décembre dernier, et cela malgré les polémiques et les avertissements de nombreux politiques qui se sont inquiétés ces derniers jours de la dangerosité des amalgames entre identité nationale, islam et immigration, que nous étions en présence d’un « débat noble » qu’il a pourtant, une fois de plus, limiter à l'immigration!
L’unique sortie de secours maintenant - même si nous pensons que le cancer de la haine a déjà développé de graves métastases au sein de notre société - est désormais entre les mains du peuple français. Ce peuple de France qui n’est pas encore aliéné, celui qui n’a pas perdu la mémoire et qui n’a pas oublié les sinistres leçons de l’Histoire, se doit de se saisir courageusement de cette inqualifiable manœuvre de diversion qui vise à détourner la nation française des réels problèmes qui l’affaiblissent et se lever pour dire « NON ». C’est en effet tous ensembles, sans considération d’origines, de religions, de couleurs politiques que nous devons exprimer notre refus de voir s’engager notre pays dans cette voie dont l’issue sera forcément fatale. L’histoire a déjà parlé !
Car, ce que nous devons retenir comme leçon du martelage sur le concept de mémoire durant ces soixante dernières années, ce n’est pas la supériorité de certains sur les autres, mais la terrible réalité que la frontière entre la bête et l’homme est très fragile et qu’elle peut être franchie par l’humanité à chaque instant dès que la vigilance baisse et que les valeurs essentielles humaines sont transgressées. Avons-nous oublié ces images, pourtant si présentes sur nos écrans de télévision, de pogroms, de trains de la mort, de camps d’extermination qui furent autant de négation de notre humanisme ? Avons-nous oublié la vraie devise de notre identité nationale : Liberté-Egalité-Fraternité ? Sommes-nous en train de chercher à ressortir l’identité de
Nelly Leboucher
Abdelhakim Sefrioui
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire