Le mouvement juif Néo-conservateur : du trotskisme au bellicisme sioniste
On entend souvent parler des néocons en lien avec Bush, Cheney et Rumsfeld. Or, ces sinistres individus sont loin d'être les véritables idéologues du néo-conservatisme. Ils n'en ont été que les porte-paroles et représentants les plus en vue à l'intérieur de l'administration Bush et Reagan, qui sont les deux administrations américaines au sein desquelles les néo-conservateurs ont eu le plus d'influence. Pour comprendre le phénomène des néo-conservateurs, il importe de mettre en lumière qui sont les penseurs et quels sont les fondements idéologiques de ce mouvement. Cette petite enquête sur le mouvement néo-conservateur nous fera découvrir un petit groupe d'idéologues juifs, puisant aux idéologies trotskiste et sioniste.
Du trotskisme au néo-conservatisme
Wikipedia identifie les premiers penseurs néo-conservateurs comme étant d'anciens trotskistes juifs:
Le premier grand néo-conservateur à avoir adopté ce mot et qui est considéré comme le fondateur de cette idéologie est Irving Kristol, un Américain juif né dans une famille juive orthodoxe et père de William Kristol, fondateur du think-tank néo-conservateur Project for the New American Century. Irving Kristol a été un militant trotskyste actif pendant sa jeunesse et a exposé ses vues néoconservatrices en 1979 dans l'article "Confessions of a True, Self-Confessed 'Neoconservative.'" Les idées de Kristol sont influentes depuis les années 50 quand il a cofondé et édité le magazine Encounter. Un autre idéologue de ce mouvement était Norman Podhoretz, éditeur au magazine Commentary de 1960 à 1995.(...)
Les journaux néo-conservateurs prééminents sont Commentary et The Weekly Standard. Il existe aussi des think-tanks néo-conservateurs sur la politique étrangère dont notamment American Enterprise Institute (AEI), Project for the New American Century(PNAC), The Heritage Foundation et le Jewish Institute for National Security Affairs(JINSA).(...)
Le néo-conservatisme apparaît véritablement dans les années 1980, quoique l'on puisse trouver des éléments précoces de ce qui peut apparaître comme une école de pensée politique dans les années 1960, autour de personnalités comme Irving Kristol, Norman Podhoretz, Wilmoore Kendall, John M. Olin, James Burnham, Francis Fukuyama, ou Charles Krauthammer. (...) Ses adeptes sont souvent d'anciens démocrates, voire d'ancienstrotskistes, déçus par l'évolution culturelle et intellectuelle depuis les années 1960. C'est le cas d'Irving Kristol, ou de Martin Diamond, spécialiste de la Constitution américaine. (...) Side nombreux néoconservateurs sont de confession juive et catholique (Gerson, Mark: 1987 : 285), il serait faux de réduire cette vision politique à une approche communautaire. Il est plus juste de dire que les néoconservateurs sont le plus souvent des pro-israéliens proches du Likoud, la droite israélienne (...)
Mais qu'est-ce que le trotskisme? Pour le comprendre, il nous faut faire un bref retour sur l'idéologie communiste et la révolution bolchévique en Russie.
Les journaux néo-conservateurs prééminents sont Commentary et The Weekly Standard. Il existe aussi des think-tanks néo-conservateurs sur la politique étrangère dont notamment American Enterprise Institute (AEI), Project for the New American Century(PNAC), The Heritage Foundation et le Jewish Institute for National Security Affairs(JINSA).(...)
Le néo-conservatisme apparaît véritablement dans les années 1980, quoique l'on puisse trouver des éléments précoces de ce qui peut apparaître comme une école de pensée politique dans les années 1960, autour de personnalités comme Irving Kristol, Norman Podhoretz, Wilmoore Kendall, John M. Olin, James Burnham, Francis Fukuyama, ou Charles Krauthammer. (...) Ses adeptes sont souvent d'anciens démocrates, voire d'ancienstrotskistes, déçus par l'évolution culturelle et intellectuelle depuis les années 1960. C'est le cas d'Irving Kristol, ou de Martin Diamond, spécialiste de la Constitution américaine. (...) Side nombreux néoconservateurs sont de confession juive et catholique (Gerson, Mark: 1987 : 285), il serait faux de réduire cette vision politique à une approche communautaire. Il est plus juste de dire que les néoconservateurs sont le plus souvent des pro-israéliens proches du Likoud, la droite israélienne (...)
Mais qu'est-ce que le trotskisme? Pour le comprendre, il nous faut faire un bref retour sur l'idéologie communiste et la révolution bolchévique en Russie.
Léon Trotsky, un des plus grands bourreaux de l'histoire
Depuis plus d'un siècle, le socialisme, le marxisme et, plus tard, le marxisme-léninisme (la doctrine bolchévique) ont été amplement promus dans des confréries francs-maçonniquesd'inspiration révolutionnaire anglaises, allemandes, françaises, etc. (Plus de détails: Under The Sign of The Scorpion) En plus de cet appui des francs-maçons, la révolution bolchévique a été grassement financée par la haute finance capitaliste, celle de Wall Street, contrôlée par des milliardaires juifs talmudistes chapeautés par l'empire Rothschild, dont le coeur se situe depuis le début du 19e siècle dans la City de Londres (un État indépendant qui domine la Reine et le parlement britannique et qui régit ni plus ni moins que l'économie mondiale). (Plus de détails sur le Talmud: en anglais et en français)
Caricature Karl Marx accueilli à bras ouverts à Wall Street.
Petit-fils de rabbin, Karl Marx a été formé à la pensée communiste par l'érudit talmudisteMoses Hess, qu'il surnommait "mon rabbin communiste" (Source: Judaism Discovered, Michael Hoffman).
Petit-fils de rabbin, Karl Marx a été formé à la pensée communiste par l'érudit talmudisteMoses Hess, qu'il surnommait "mon rabbin communiste" (Source: Judaism Discovered, Michael Hoffman).
Il faut aussi savoir que 95% des hauts fonctionnaires bolchéviques -- les responsables del'Holocauste des Russes et des Urkrainiens -- étaient juifs et non pas Russes (vous trouverez ici une liste non exhaustive des plus importants dirigeants juifs du bolchévisme). La révolution bolchévique comptait dans sa première administration plus de 545 membres, dont au moins 447 juifs, ce qui permit à Lénine d'annoncer que: "Les juifs formeront les cadres principaux de la révolution et porteront la semence du socialisme dans les masses russes les plus arriérées." Le bolchévisme est véritablement une révolution juive, dont l'élite avait pour langue officielle le Yiddish.
Les origines juives de Lénine: un secret bien gardé... (source française)
Enfin, selon les statistiques fournies par le Nobel de littérature et survivant des goulags Alexandre Soljenitsyne dans son livre L'archipel du goulag, plus de 66 millions de Russes ont été massacrés par les bolchéviques. Dans le second tome de L'archipel du goulag, il rappelle que les administrateurs des goulags étaient des juifs. C'est dire que même si l'on oublie les 120 millions de Chinois massacrés par le régime de Mao Tsé Tong, l'Holocauste communiste se révèle incomparablement pire que l'Holocauste nazi! Le fait est que pour vraiment rendre justice aux crimes communistes, il faudrait y consacrer une bibliothèque entière...
Selon Soljenitsyne: "les bolchéviques étaient dirigés par des non-Russes qui haïssaient le peuple russe." D'où une telle haine peut-elle bien venir? Probablement du fait que les juifs (incluant des nombreux descendants des Khazars) ne l'ont jamais digéré d'avoir été évincés de Russie par les Chrétiens Russes.
Selon Soljenitsyne: "les bolchéviques étaient dirigés par des non-Russes qui haïssaient le peuple russe." D'où une telle haine peut-elle bien venir? Probablement du fait que les juifs (incluant des nombreux descendants des Khazars) ne l'ont jamais digéré d'avoir été évincés de Russie par les Chrétiens Russes.
Statue remémorant la défaite historique des Khazars par les armées russes chrétiennes.
Ainsi, dès les premières semaines suivant la révolution bolchévique, les Églises russes ont été rasées les unes après les autres, alors que les synagogues étaient laissées intactes... (Puisqu'il fallait bien que les rabbis étudient Marx la nuit venue!) Les communistes justifiaient ce massacre du fait que "les chrétiens sont des propriétaires terriens, donc des bourgeois réactionnaires, ce qui fait d'eux les pires ennemis de la révolution". En effet, les "Blancs" -- patriotes chrétiens russes -- s'opposaient aux "Rouges" -- communistes internationaux. Ce sont ces mêmes "Blancs" qui ont fait circuler les Protocoles de Sion en Russie. Tout le monde sait d'ailleurs que pour les communistes la religion est l'opium du peuple (bien qu'ils aient toujours conservé le judaïsme dans leurs bonnes grâces, plus ou moins secrètement...)
Sur cette image de promotion du premier gouvernement bolchévique en Russie, on constate que quatre des cinq principaux dirigeants sont juifs (seul celui en haut à droite n'est pas juif). Nous avons donc les juifs Lénine (en haut), Zinoviev (Aaronovitch, en haut à gauche),Trotsky (centre), Kamenev (Rosenfeld, en bas à gauche) et Sverdlov (Solomon, en bas à droite). (Voir ici d'autres photos de juifs communistes soviétiques et d'oligarquescapitalistes.)
La division entre staliniens et trotskistes
Léon Trotsky, le militariste qui a fondé la police secrète de la Tchéka, était directement lié à la haute finance de Wall Street. Son vrai nom était Lev Bronstein et c'était un juif newyorkais ouvertement franc-maçon (de la loge maçonnique exclusivement juive du B'Nai Brith) qui n'avait rien de russe. C'est Jacob Schiff, un banquier juif newyorkais représentant les intérêts Rothschild, président de la banque Kuhn, Loeb & Co. (propriété des Rothschild), fondateur de l'American Jewish Committee et membre de la loge maçonnique juive du B'Nai Brith, qui a financé Trotsky pour faire la révolution en Russie.
Léon Trotsky et Jacob Schiff: une révolution téléguidée de Wall Street
"À mon camarade Armand Hammer, de V.I.Oulianoff Lénine, 1921"
La fille d'Al Gore a épousé l'héritier Schiff. La fortune des Gore est liée à celle du juif Armand Hammer, dont le nom provient du logo du parti socialiste travailliste américain.
L'agent des Rothschild Paul M. Warburg, de la fameuse famille de banquiers juifs, fut lepremier président et ardent promoteur de la Réserve fédérale américaine, membre du CFR et l'un des collaborateurs de Kuhn, Loeb & co. (de Jacob Schiff), en plus d'avoir été l'un des grands financiers de la révolution bolchévique. Son fils James Paul Warburg, qui fut le conseilleur financier de Franklin D. Roosevelt., est connu pour avoir déclaré publiquementdevant le CFR du Sénat des États-Unis: "Nous aurons un gouvernement mondial que nous l'aimions ou pas. La question est seulement si nous l'aurons par consentement ou par conquête." (Autres citations)
Un conflit éclata entre Staline et Trotsky quant à l'avenir de l'état soviétique et du marxisme-léninisme. Staline était nationaliste et son communisme concernait la nation russe avant tout, à l'inverse du communisme de Trotsky qui était en mode international. Lestrotskistes étaient les communistes les plus intimement liés aux grands financiers internationalistes de Wall Street. Les trotskistes prônent la révolution mondiale, internationale. Ils ont vite compris qu'il valait mieux prendre le contrôle du capitalisme de l'intérieur pour ensuite étendre la révolution à l'échelle mondiale. C'est ainsi qu'ils ont pris d'assaut les centres de pouvoir américains pour en faire leur chien de combat, leur instrument de domination mondiale par lequel ils pourront fomenter des guerres afin de renverser des régimes partout dans le monde. Les trotskistes américains ont vite rejoint l'empire américain contre les staliniens et l'Union soviétique. (En fait, de nombreux grands financiers favorisaient les communistes, comme par exemple le milliardaire juif Armand Hammer qui fut un grand ami de Lénine.) Au centre du complot pour assassiner Staline (tué en 1953 le jour de le fête juive de Pourim, exactement comme le légendaire ennemi des juifs,Haman, dans le Livre d'Esther) se trouvaient des médecins juifs (voir "le complot des blouses blanches") et des agents liés à des organisations anti-fascistes, que Staline avait reconnues comme étant en réalité des façades des sionistes. Dès 1939, Staline a lancé des purges anti-juives et surtout antisionistes, en raison des liens évidents entre les capitalistes et les sionistes. C'est surtout à partir de ce moment que l'Union soviétique a été dépeinte dans les médias comme l'incarnation du mal et Staline comme le plus effrayant croque-mitaine après Adolf Hitler. Voici une citation surprenante de Staline, prononcée en août 1939: "Le Sionisme veut dominer le monde. Il se vengera de nos succès et accomplissements. Le Sionisme international, avec toute sa puissance, s'efforcera à détruire notre Union de sorte que notre pays ne puisse jamais se rétablir."("Zionism strives for world domination. It will take revenge for all our successes and achievements. International Zionism with all its power will strive to destroy our Union, so that our country would never recover.") Il apparaît clairement que, à l'inverse des staliniens qui ont rejeté les sionistes, les trotskistes ont rallié les sionistes et l'empire mondialiste américain qui les ont accueilli à bras ouvert d'autant plus facilement qu'ils avaient en fait jamais été très loin l'un de l'autre.
Le néo-conservateur Nathan Sharansky fait partie de ces juifs qui ont dû fuir l'Union soviétique sous Staline et qui se sont vus refuser par Staline le "droit" de plier bagage pour aller s'établir en Israël (d'où le nom de "refuzniks"). (Staline avait plutôt créé le Birobijan, le premier état juif autonome, au Nord de la Chine, en 1934, bien avant la création d'Israël par l'ONU en 1948). La haine des trotskistes et des futurs néo-conservateurs vis-à-vis Staline et l'Union soviétique n'a cessé de croître depuis. Dès lors, les néo-conservateurs, ces anciens communistes trotskistes, se sont lancés dans une grande croisade contre l'Union soviétique et, hypocritement, contre le communisme. C'est la période de la guerre froide. L'influence anti-soviet de ces néo-conservateurs se fera sentir plus spécialement dans l'administration Reagan.
Il est hautement significatif que le président George W. Bush a déjà dit que le livre sur lequel se fonde sa pensée est le livre de Nathan Sharansky The Case for Democracy (The Power of Freedom To Overcome Tyranny and Terror). Dans ce livre, Sharansky explique que c'est la mission consacrée des États-Unis de faire la guerre aux régimes tyranniques afin de porter le flambeau de "la démocratie et la liberté" aux quatre coins de la planète. Sharansky fut en fait le mentor intellectuel et conseiller secret de Bush.
Le néo-conservateur Nathan Sharansky fait partie de ces juifs qui ont dû fuir l'Union soviétique sous Staline et qui se sont vus refuser par Staline le "droit" de plier bagage pour aller s'établir en Israël (d'où le nom de "refuzniks"). (Staline avait plutôt créé le Birobijan, le premier état juif autonome, au Nord de la Chine, en 1934, bien avant la création d'Israël par l'ONU en 1948). La haine des trotskistes et des futurs néo-conservateurs vis-à-vis Staline et l'Union soviétique n'a cessé de croître depuis. Dès lors, les néo-conservateurs, ces anciens communistes trotskistes, se sont lancés dans une grande croisade contre l'Union soviétique et, hypocritement, contre le communisme. C'est la période de la guerre froide. L'influence anti-soviet de ces néo-conservateurs se fera sentir plus spécialement dans l'administration Reagan.
Il est hautement significatif que le président George W. Bush a déjà dit que le livre sur lequel se fonde sa pensée est le livre de Nathan Sharansky The Case for Democracy (The Power of Freedom To Overcome Tyranny and Terror). Dans ce livre, Sharansky explique que c'est la mission consacrée des États-Unis de faire la guerre aux régimes tyranniques afin de porter le flambeau de "la démocratie et la liberté" aux quatre coins de la planète. Sharansky fut en fait le mentor intellectuel et conseiller secret de Bush.
Les trotskistes juifs et mai 68
Le rôle des trotskistes juifs dans la révolution de mai 68 en France ne fait plus de doute, bien qu'il reste très peu connu. Des articles de revues prestigieuses telles que Le Monde etIsraël Magazine ne se gênent pas pour mettre en lumière la judéité des acteurs de la révolution de mai 68. Noémie Gryndberg de la revue Israel Magazine écrit:
Mais qui sont ces étudiants revendicateurs et quelle est leur utopie ? Selon le politologue Ehud Shprinchek, la plupart viennent de bonnes familles bourgeoises, plutôt socialisantes. Et surtout, beaucoup de Juifs. Tous sont des acteurs politiques. (...)
Les Juifs et la révolution
En 1988, le quotidien Le Monde publie un article intitulé : ‘’Le mouvement de mai 68 fut-il une "révolution juive" ? En effet, la proportion de Juifs dans les mouvements révolutionnaires, que ce soit en 1917 ou en 1968, est importante. Est-ce une tradition juive que de vouloir changer le monde et de s’y engager ? Est-ce que lemessianisme révolutionnaire fait écho (laïque) au messianisme juif dans sa version émancipatrice ? (...) Ces enfants d’après la Shoah exorcisent leur lourd héritage familial en devenant membres de groupes trotskistes, maoïstes ou anarchisants. Ils fondent et militent dans des mouvements révolutionnaires d’extrême gauche (Gauche prolétarienne, Jeunesse Communiste Révolutionnaire trotskyste (actuelle LCR), Organisation communiste internationaliste trotskyste) peut-être pour faire le pendant de l’extrême droite. Il est d’ailleurs intéressant de noter que les meneurs sont principalement ashkénazes. Tous ces intellectuels de la gauche radicale aujourd'hui reconvertis en député européen, maître de conférences, professeur d’histoire, philosophe (Daniel Cohn-Bendit, Daniel Schulmann, Yves Fleischl, André Glucksmann, Robert Linhardt, Henri Weber, Alain Krivine, Daniel Gluckstein, Alain Finkielkraut) ont en commun d'avoir grandi dans des familles profondément marquées par le drame de la Shoah.(...)
Même laïcisés, les Juifs gardent ancrés en eux cette mission qui incombe à Israël de mener l'humanité à son accomplissement (...) Il y a un écho entre le déterminisme historique marxiste et le Judaïsme vecteur de l'histoire de l'humanité. Comme l'a formulé Benny Lévy, philosophe ancien soixante-huitard revenu aux sources de la pensée juive, le Juif est un passeur. Il est le vecteur de l'Histoire jusqu'à l'accomplissement de l'humanité dans le projet divin ".
Moise, Marx et Trotski
Mai 68 fait appel aux deux grands théoriciens de la gauche révolutionnaire : Marx et Trotski. Eux-mêmes Juifs, ils cherchent à travers le communisme une réponse au "problème juif ". Le marxisme et le trotskisme dans sa version plus radicale de mouvement permanent et mondial seraient donc en quelque sorte sa solution globale.
Force est de constater qu'un grand nombre des ces anciens trotskistes (dont j'ai souligné les noms dans le texte) sont devenus des chantres de l'impérialisme anglo-sioniste, tant au États-Unis qu'en France et ailleurs dans le "monde libre". Plusieurs d'entre eux ont en effet exigé d'"intervenir" en Irak pour "chasser le tyran fasciste Saddam Hussein" et "restaurer la démocratie". On peut en voir quelques exemples en visionnant les vidéos suivants: Zemmour (juif) face à André Glucksmann (juif) ; Bruckner (juif)_plaidant pour la guerre en Irak ; De Mai 68 à Bush.
C'est de cette matrice révolutionnaire trotskiste qu'émergent les néocons.
Qui sont les néo-conservateurs?
Rappelons comment Wikipedia décrit le néo-conservatisme:
Le premier grand néo-conservateur à avoir adopté ce mot et qui est considéré comme le fondateur de cette idéologie est Irving Kristol, un Américain juif né dans une famille juive orthodoxe et père de William Kristol, fondateur du think-tank néo-conservateur Project for the New American Century. Irving Kristol a été un militant trotskyste actif pendant sa jeunesse et a exposé ses vues néoconservatrices en 1979 dans l'article "Confessions of a True, Self-Confessed 'Neoconservative.'" Les idées de Kristol sont influentes depuis les années 50 quand il a cofondé et édité le magazine Encounter. Un autre idéologue de ce mouvement était Norman Podhoretz, éditeur au magazine Commentary de 1960 à 1995.(...)
Les journaux néo-conservateurs prééminents sont Commentary et The Weekly Standard. Il existe aussi des think-tanks néo-conservateurs sur la politique étrangère dont notamment American Enterprise Institute (AEI), Project for the New American Century(PNAC), The Heritage Foundation et le Jewish Institute for National Security Affairs(JINSA).(...)
Le néo-conservatisme apparaît véritablement dans les années 1980, quoique l'on puisse trouver des éléments précoces de ce qui peut apparaître comme une école de pensée politique dans les années 1960, autour de personnalités comme Irving Kristol, Norman Podhoretz, Wilmoore Kendall, John M. Olin, James Burnham, Francis Fukuyama, ou Charles Krauthammer. (...) Ses adeptes sont souvent d'anciens démocrates, voire d'ancienstrotskistes, déçus par l'évolution culturelle et intellectuelle depuis les années 1960. C'est le cas d'Irving Kristol, ou de Martin Diamond, spécialiste de la Constitution américaine. (...) Side nombreux néoconservateurs sont de confession juive et catholique (Gerson, Mark: 1987 : 285), il serait faux de réduire cette vision politique à une approche communautaire. Il est plus juste de dire que les néoconservateurs sont le plus souvent des pro-israéliens proches du Likoud, la droite israélienne (...)
Le premier grand néo-conservateur à avoir adopté ce mot et qui est considéré comme le fondateur de cette idéologie est Irving Kristol, un Américain juif né dans une famille juive orthodoxe et père de William Kristol, fondateur du think-tank néo-conservateur Project for the New American Century. Irving Kristol a été un militant trotskyste actif pendant sa jeunesse et a exposé ses vues néoconservatrices en 1979 dans l'article "Confessions of a True, Self-Confessed 'Neoconservative.'" Les idées de Kristol sont influentes depuis les années 50 quand il a cofondé et édité le magazine Encounter. Un autre idéologue de ce mouvement était Norman Podhoretz, éditeur au magazine Commentary de 1960 à 1995.(...)
Les journaux néo-conservateurs prééminents sont Commentary et The Weekly Standard. Il existe aussi des think-tanks néo-conservateurs sur la politique étrangère dont notamment American Enterprise Institute (AEI), Project for the New American Century(PNAC), The Heritage Foundation et le Jewish Institute for National Security Affairs(JINSA).(...)
Le néo-conservatisme apparaît véritablement dans les années 1980, quoique l'on puisse trouver des éléments précoces de ce qui peut apparaître comme une école de pensée politique dans les années 1960, autour de personnalités comme Irving Kristol, Norman Podhoretz, Wilmoore Kendall, John M. Olin, James Burnham, Francis Fukuyama, ou Charles Krauthammer. (...) Ses adeptes sont souvent d'anciens démocrates, voire d'ancienstrotskistes, déçus par l'évolution culturelle et intellectuelle depuis les années 1960. C'est le cas d'Irving Kristol, ou de Martin Diamond, spécialiste de la Constitution américaine. (...) Side nombreux néoconservateurs sont de confession juive et catholique (Gerson, Mark: 1987 : 285), il serait faux de réduire cette vision politique à une approche communautaire. Il est plus juste de dire que les néoconservateurs sont le plus souvent des pro-israéliens proches du Likoud, la droite israélienne (...)
Les penseurs néo-conservateurs américains les plus influents sont donc d'anciens trotskistes juifs: le gourou Leo Strauss, les Kristol père et fils, les Podhoretz père et fils, les Kaganpère et fils, Perle, Ledeen, Pipes, Krauthammer, Peretz, etc., qui ont toujours été proches des juifs les plus radicaux de la branche fasciste du sionisme. La plupart d'entre nous l'ignorons pour la simple et bonne raison qu'ils ont l'habitude de mettre au pouvoir des façades non-juives (ex: Dick Cheney) qu'ils influencent à distance, en restant plus ou moins dans l'ombre.
Paul Wofowitz lors d'une conférence de l'AIPAC devant le Capitole
Le "think tank" néo-conservateur le plus connu est sans contredit le Project for the New American Century (PNAC, 1997). Sous la direction de William Kristol (éditeur du Weekly Standard, du magnat médiatique sioniste Rupert Murdoch=Fox/NewsCorp) et Robert Kagan(correspondant du Weekly Standard), le PNAC compte parmi ses membres : Paul Wolfowtiz(ancien président de la banque mondiale et secrétaire à la défense sous Reagan), Dick Cheney, Donald Rumsfeld (qui ont tous les trois servi sous les administrations Reagan etBush père), Richard Perle (un invité de Bilderberg, proche de Netanyahou, conseiller du secrétaire à la défense Wolfowitz sous Reagan et directeur du conseil de la Défense sous G.W. Bush), le rabbin Dov Zakheim (contrôleur des comptes du Pentagone quand 2.3 trillions$ ont disparu peu avant le 11 septembre, ex-PDG de System Planning Corporation qui offre des dispositifs de contrôle d'avions à distance), Lewis "Scooter" Libby (Liebowitz, ancien directeur du bureau du v-p Cheney, avocat du trafiquant d'armes israélien Marc Rich, emprisonné pour son rôle dans l'affaire Plame), Eliot Cohen, Donald Kagan (père de Robert Kagan), Jeb Bush, Max Boot (éditeur du Wall Street Journal de Murdoch), Elliott Abrams(impliqué dans le scandale Iran-contra, en charge des affaires du Proche-orient au National Security Council), Steve Rosen (un espion de l'AIPAC emprisonné), Daniel Pipes (protégé de Perle et fils du théoricien anti-Soviet Richard Pipes), Robert Zoellick (nouveau président de la banque mondiale), etc., tous pro-sionistes et co-conspirateurs (sous l’égide de Wolfowitz, Feith et Libby) de la guerre en Irak -- une guerre pour les intérêts d’Israël. Parmi eux, seuls Bush, Cheney, Rumsfeld et Boot ne sont pas juifs. Plusieurs d'entre eux -- Perle, Wolfowitz, Kagan, Kristol, Feith, Boot -- ont pris part à la réunion de Bilderberg en 2004.
Perle et Cheney, tous deux membres du Council on Foreign Relations (CFR), ont été tour à tour directeur du Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA), un puissant lobby sioniste similaire à l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) et tout aussi partisan de la guerre au terrorisme, de la guerre en Irak et de la prochaine guerre contre l’Iran. Perle est un ancien lobbyiste pour des vendeurs d'armes israéliens et il est très proche des juifs sionistes Michael Ledeen (le théoricien de la "destruction créatrice" du Moyen-Orient) et Elliott Abrams (le gendre du gourou belliciste néo-con Norman Podhoretz). Les liens un peu trop étroits de Perle avec Israël lui ont valu de faire l'objet d'une enquête en 1970 pour avoir passé des secrets à Israël, comme Wolfowitz l’a été en 1978.
Voici une liste un peu plus longue des principaux signataires du PNAC, tous néo-conservateurs, impliqués dans la politique américaine ou dans les médias américains. Les noms juifs sont marqués d'une astérisque.
Perle et Cheney, tous deux membres du Council on Foreign Relations (CFR), ont été tour à tour directeur du Jewish Institute for National Security Affairs (JINSA), un puissant lobby sioniste similaire à l’American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) et tout aussi partisan de la guerre au terrorisme, de la guerre en Irak et de la prochaine guerre contre l’Iran. Perle est un ancien lobbyiste pour des vendeurs d'armes israéliens et il est très proche des juifs sionistes Michael Ledeen (le théoricien de la "destruction créatrice" du Moyen-Orient) et Elliott Abrams (le gendre du gourou belliciste néo-con Norman Podhoretz). Les liens un peu trop étroits de Perle avec Israël lui ont valu de faire l'objet d'une enquête en 1970 pour avoir passé des secrets à Israël, comme Wolfowitz l’a été en 1978.
Voici une liste un peu plus longue des principaux signataires du PNAC, tous néo-conservateurs, impliqués dans la politique américaine ou dans les médias américains. Les noms juifs sont marqués d'une astérisque.
Le premier paragraphe d'un article paru dans Ha'aretz, intitulé White Man's Burden, résume en une seul phrase qui sont les vrais responsables de la guerre en Irak: "La guerre en Irak a été conçue par 25 intellectuels néo-conservateurs, juifs pour la plupart, qui poussent le président Bush à changer le cours de l'histoire" ("The war in Iraq was conceived by 25 neoconservative intellectuals, most of them Jewish, who are pushing President Bush to change the course of history.") C'est exactement cela qui s'est produit.
Il n'est donc pas surprenant que les promoteurs du "surge" (remontée en force, déferlante) aient été pratiquement tous juifs, comme le signalait l'édition du 24 août 2007 du journal israélien JTA: "Pro-'surge' group is almost all Jewish : Four of five members of the board of a campaign promoting President Bush's policies in the Iraq war are Republican Jews".
Le PNAC est, grosso modo, une réitération d'un document antérieur, intitulé "Clean Break: A New Strategy for Securing the Realm", écrit par Richard Perle, Douglas Feith et James Wurmser (tous juifs) et inspiré par la clique d'extrémistes de Benjamin Netanyahou, à la tête du Likoud (le parti israélien d'extrême-droite). Le document appelait les États-Unis à se rapprocher d'Israël et à envahir et détruire l'Irak pour le bien d'Israël, puisqu'il était forcément, selon eux, dans l'intérêt des États-Unis de se débarrasser de Saddam Hussein. Et le document Clean Break suivait la même ligne pensée que le plan de l'Organisation sioniste mondiale intitulé A Strategy for Israel in the 1980's.
Le PNAC préparait donc la guerre en Irak. À la tête d'un pays très fort économiquement et politiquement, Saddam Hussein, un nationaliste qui soutenait activement la cause palestinienne et nouait des alliances économiques avec des puissances des quatre coins du monde, représentait une grande menace aux yeux des sionistes. Les néo-conservateurs et les sionistes ont même tenté de blâmer l'attentat d'Oklahoma City sur les Irakiens, mais le président Clinton s'y est fortement opposé, ce qui l'amena à privilégier la thèse du "fou solitaire" Tim McVeigh. (Un geste d'obstruction que les néo-conservateurs lui ont fait payer cher: Bill Kristol a "révélé" le premier aux médias les détails de l'affaire Lewinsky, une affaire qui allait entraîner la destitution de Clinton. Hillary Clinton parlait d'un "grand complot de la droite" contre son mari; peut-être voulait-elle parler de la droite israélienne?)
C'est dans le PNAC que les faucons de la guerre en Irak révèlent avoir besoin d’un événement révolutionnaire, un «nouveau Pearl Harbor», pour catalyser l’expansion hégémonique américaine et plus spécifiquement au Moyen-Orient: «Le processus de transformation, même s’il apporte un changement révolutionnaire, est susceptible d’être long, en l’absence d’un événement catastrophique catalyseur comme un nouveau Pearl Harbor». Le 11 septembre fut précisément ce «nouveau Pearl Harbor». L’analogie est d’autant plus pertinente que le traître Roosevelt savait pertinemment que le Japon allait attaquer la base de Pearl Harbor, mais il n’a rien fait l'empêcher, car l'objectif était de convaincre les Américains d'entrer en guerre.
Il n'est donc pas surprenant que les promoteurs du "surge" (remontée en force, déferlante) aient été pratiquement tous juifs, comme le signalait l'édition du 24 août 2007 du journal israélien JTA: "Pro-'surge' group is almost all Jewish : Four of five members of the board of a campaign promoting President Bush's policies in the Iraq war are Republican Jews".
Le PNAC est, grosso modo, une réitération d'un document antérieur, intitulé "Clean Break: A New Strategy for Securing the Realm", écrit par Richard Perle, Douglas Feith et James Wurmser (tous juifs) et inspiré par la clique d'extrémistes de Benjamin Netanyahou, à la tête du Likoud (le parti israélien d'extrême-droite). Le document appelait les États-Unis à se rapprocher d'Israël et à envahir et détruire l'Irak pour le bien d'Israël, puisqu'il était forcément, selon eux, dans l'intérêt des États-Unis de se débarrasser de Saddam Hussein. Et le document Clean Break suivait la même ligne pensée que le plan de l'Organisation sioniste mondiale intitulé A Strategy for Israel in the 1980's.
Le PNAC préparait donc la guerre en Irak. À la tête d'un pays très fort économiquement et politiquement, Saddam Hussein, un nationaliste qui soutenait activement la cause palestinienne et nouait des alliances économiques avec des puissances des quatre coins du monde, représentait une grande menace aux yeux des sionistes. Les néo-conservateurs et les sionistes ont même tenté de blâmer l'attentat d'Oklahoma City sur les Irakiens, mais le président Clinton s'y est fortement opposé, ce qui l'amena à privilégier la thèse du "fou solitaire" Tim McVeigh. (Un geste d'obstruction que les néo-conservateurs lui ont fait payer cher: Bill Kristol a "révélé" le premier aux médias les détails de l'affaire Lewinsky, une affaire qui allait entraîner la destitution de Clinton. Hillary Clinton parlait d'un "grand complot de la droite" contre son mari; peut-être voulait-elle parler de la droite israélienne?)
C'est dans le PNAC que les faucons de la guerre en Irak révèlent avoir besoin d’un événement révolutionnaire, un «nouveau Pearl Harbor», pour catalyser l’expansion hégémonique américaine et plus spécifiquement au Moyen-Orient: «Le processus de transformation, même s’il apporte un changement révolutionnaire, est susceptible d’être long, en l’absence d’un événement catastrophique catalyseur comme un nouveau Pearl Harbor». Le 11 septembre fut précisément ce «nouveau Pearl Harbor». L’analogie est d’autant plus pertinente que le traître Roosevelt savait pertinemment que le Japon allait attaquer la base de Pearl Harbor, mais il n’a rien fait l'empêcher, car l'objectif était de convaincre les Américains d'entrer en guerre.
Comment s'est fait la subversion néoconservatrice (israélienne) du Pentagone et de l'administration Bush? Il fallait placer des hommes aux postes-clé afin de faciliter la tromperie et la déclaration de guerre à l'Irak. Dans les années 80, sous Reagan, les néocons ont pris soin d'infiltrer la CIA en constituant une "équipe B", destinée à remplacer et neutraliser la CIA (appelée "équipe A"). Plus récemment, et pour une très courte durée (2003-2004), Paul Wolfowitz et Douglas Feith ont constitué le Office of Special Plans (OSP), qui regroupait la plupart des plus importants agents israéliens néoconservateurs: Richard Perle (alors directeur du Defense Policy Board), Abram Shulsky (protégé de Perle) et Eliott Abrams (alors responsable des affaires proche-orientales au National Security Council). C'est l'OSP, plus précisément Perle et Shulsky, qui sont à l'origine des fausses informations sur les prétendues "armes de destruction massives irakiennes" qui allaient servir à justifier la guerre voulue par Cheney-Rumsfeld et Wolfowitz. L'OSP a aussi fondé le Committee fo the Liberation of Iraq (CLI) qui comptait parmi ses membres: Richard Perle, Rep. Newt Gingrich, James Woolsey de la CIA, Bill Kristol (Weekly Standard), John McCain et Bob Kerry.
Douglas Feith et Paul Wolfowitz, les numéros 2 et 3 au Pentagone à l'époque, se révèlent donc être les principaux responsables de la destruction de la nation irakienne.
À quand leur procès pour crimes de guerre?
Les juifs néocons qui ont tiré les ficelles pour faire la guerre en Irak:
William Kristol, Richard Perle, Paul Wolfowitz, Elliott Abrams, Douglas Feith
Mis à part Abrams, ils ont tous déjà été invités à la réunion de Bilderberg.
Paul Wolfowitz a quitté son poste au Pentagone lorsque ça a commencé à chauffer pour les néocons qui faisaient l'objet d'une enquête du FBI (pour plus de détails, voir le scandale d'espionnage israélien à l'AIPAC). Après avoir quitté son poste, Wolfowitz devint président de la Banque mondiale.
Dans cette affaire d'espionnage d'une ampleur sans précédent (en raison de l'importance de l'organisation AIPAC, qui représente le plus puissant lobby aux États-Unis et rallie des appuis aussi bien des démocrates que des républicains), seule une poignée de bouc émissaires (Libby, Rosen, Weissman) ont été inculpés, bien que les néocons les plus importants aient dû se soumettre à des entrevues avec le FBI. L'AIPAC et les principaux agents israéliens néocons (Perle, Feith, Wolfowitz, Shulsky) étaient sous surveillance et sous enquête du FBI depuis des décennies. Il est possible que le scandale d'espionnage à l'AIPAC soit en quelque sorte une vengeance de la CIA contre ces néocons qui ont réussi à marginaliser la CIA et à faire en sorte que le gouvernement ignore ses mises en garde concernant les fausses informations sur les armes de destruction massive.
L'union maudite du fascisme sioniste et de l'anti-fascisme des ex-trotskistes
La position ultra-sioniste des néo-conservateurs est en droite ligne avec la pensée du fasciste juif Vladimir Jabotinsky (dénoncé par Einstein, notamment dans une lettre au New York Times), le fondateur du Bétar et l'inspiration de l'organisation terroriste Irgoun, qui a perpétré le massacre de Deir Yassin, qui a fait sauter l'hotel King David, sous la direction du futur PM Menachem Begin, pour enfin se métamorphoser en parti de droite extrémiste: leLikoud. (C’est ce même parti qui, sous le mandat d’Ariel Sharon, en 2002, érigera le Mur entourant la Palestine, réalisant ainsi le rêve du «Mur de Fer» imaginé en 1923 par Jabotinsky.) À l'inverse de la posture économique et communiste (matérialiste et athée) du penseur sioniste Theodor Herzl, la posture sioniste de Vladimir Jabotinsky était identitaire:raciste, ultra-religieuse et fasciste. Netanyahou, le dirigeant du Likoud et actuel premier ministre d'Israël, est le meilleur exemple de la continuité sans faille des Likoudniks avec la pensée des fascistes juifs: non seulement son père BenZion était secrétaire de Jabotinsky, mais en plus Netanyahou est un étudiant assidu de la pensée de Jabotinsky. Netanyahou est directement connecté aux néo-conservateurs et l'on reconnaît son influence dans le contenu du Clean Break, écrit principalement par son proche ami Richard Perle. En fait, toute l’idée de la guerre au terrorisme vient du livre de Netanyahou paru en 1986, intitulé «Terrorism: How the West Can Win». Il prédit jusqu’à la guerre en Irak et en Afghanistan et appelle l’Occident à combattre les ennemis d'Israël, les Palestiniens et les Arabes, qui ne sont pour lui que des terroristes à supprimer. Le jour même du 11 septembre, Netanyahou déclarait que le drame du 11 septembre était «très bon pour les relations entre les États-Unis et Israël» (New York Times). Il a répété cette affirmation scandaleuse en 2008.
Certes, les néo-conservateurs sont liés aux fascistes sionistes, mais quand on remonte aux théoriciens néo-conservateurs, on constate qu'ils étaient des communistes trotskistes, anti-staliniens et anti-soviet. Le fait qu'ils se proclament "anti-communistes" relève de la pure hypocrisie, voire du mensonge.
Les trotskistes étaient les champions du mouvement et de la posture "anti-fasciste". Historiquement, nul ne conteste que "l'anti-fascisme" est né du trotskisme. Mais avant de traiter d'anti-fascisme, il faut clarifier le sens du mot "fascisme". Alors que les trotskistes épousaient la pensée libérale et promouvait démocratie comme vecteur de révolution internationale, en réaction au libéralisme - qu'il soit communiste ou capitaliste - s'est érigé une opposition: le fascisme. Le mouvement fasciste prônait le nationalisme, le patriotisme, la religion, les valeurs morales et un État fort qui prenne en main non seulement l'État de droit mais aussi la culture et surtout l'économie. Le nationalisme fasciste se voulait un rejet brutal, d'une part, de l'internationale libérale-capitaliste, c'est-à-dire la droite, et, d'autre part, de l'internationale communiste, c'est-à-dire la gauche. Plus tard, le terme "fasciste" servira à désigner globalement l'extrême-droite et servira aux trotskistes pour salir leurs ennemis. Toujours est-il que l'anti-fascisme des trotskistes a à ce point pénétré la psyché populaire que très peu de gens se souviennent de ses origines trotskistes.
Wikipedia rappelle que les néo-conservateurs sont juifs anti-fascistes et anti-nazis à la sauce "Plus Jamais Auschwitz": " Le néo-conservatisme se distingue du conservatisme traditionnel et du néolibéralisme. Anticommuniste et antifasciste, le néo-conservatisme est né sur le principe de « plus jamais Auschwitz ». " (Rappelons ici que cet anti-communisme était en réalité un anti-soviétisme d'inspiration trotskiste et non pas seulement capitaliste.)
Les trotskistes étaient les champions du mouvement et de la posture "anti-fasciste". Historiquement, nul ne conteste que "l'anti-fascisme" est né du trotskisme. Mais avant de traiter d'anti-fascisme, il faut clarifier le sens du mot "fascisme". Alors que les trotskistes épousaient la pensée libérale et promouvait démocratie comme vecteur de révolution internationale, en réaction au libéralisme - qu'il soit communiste ou capitaliste - s'est érigé une opposition: le fascisme. Le mouvement fasciste prônait le nationalisme, le patriotisme, la religion, les valeurs morales et un État fort qui prenne en main non seulement l'État de droit mais aussi la culture et surtout l'économie. Le nationalisme fasciste se voulait un rejet brutal, d'une part, de l'internationale libérale-capitaliste, c'est-à-dire la droite, et, d'autre part, de l'internationale communiste, c'est-à-dire la gauche. Plus tard, le terme "fasciste" servira à désigner globalement l'extrême-droite et servira aux trotskistes pour salir leurs ennemis. Toujours est-il que l'anti-fascisme des trotskistes a à ce point pénétré la psyché populaire que très peu de gens se souviennent de ses origines trotskistes.
Wikipedia rappelle que les néo-conservateurs sont juifs anti-fascistes et anti-nazis à la sauce "Plus Jamais Auschwitz": " Le néo-conservatisme se distingue du conservatisme traditionnel et du néolibéralisme. Anticommuniste et antifasciste, le néo-conservatisme est né sur le principe de « plus jamais Auschwitz ». " (Rappelons ici que cet anti-communisme était en réalité un anti-soviétisme d'inspiration trotskiste et non pas seulement capitaliste.)
Le slogan "Plus Jamais Auschwitz" et la rhétorique ostensiblement "anti-fasciste" des néocons est décelable jusque dans leurs écrits. On remarque facilement que les néocons et autres agents sionistes sont toujours en train de traiter les musulmans et les groupes identifiés comme "terroristes" d'être des nazis et des fascistes, des hitlériens, des chemises brunes, des chemises noires, etc. Ils accusent systématiquement leurs ennemis d'être des fascistes et, tout comme ils ont traité Saddam de fasciste et de tyran, dépeignant le moyen-orient en entier comme étant le terreau de "l'islamofascisme", ils accusent la Chine de devenir un "régime fasciste". Alors que nous sommes tous témoins de la chute du prétendu "monde libre" dans la dictature et la tyrannie la plus totale (exemple: Google utilisé comme outil de censure et de collecte de renseignements personnels pour les services secrets occidentaux), un tel niveau d'hypocrisie est proprement consternant. (Faut-il en rire ou en pleurer?) Les néocons en ont particulièrement contre la "vieille Europe", associée à l'émergence du nationalisme, du nazisme et du communisme. en fait ils en veulent surtout à l'Europe pour la même raison qu'ils en veulent à l'ONU: parce que ces entités politiques ne reculent pas devant la nécessité de condamner les exactions commises par Israël contre les Palestiniens (pour plus de détails, voir la conférence de Durban, qui s'est tenue 4 jours avant le 11 septembre 2001). On peut constater cette tendance anti-fasciste dans les articles de Michael Ledeen, néo-conservateur et théoricien de la destruction créatrice:Beijing Embraces Classical Fascism, paru dans le Far Eastern Economic Review, et Black Shirts in Red China, paru dans The Wall Street Journal. Autre exemple flagrant: "China is actually the world’s first mature fascist state. It was fascism not national socialism but the kind of fascism that people like Mussolini installed in Italy in the 1920’s that we’re talking about. The economy is a mixed economy; mixed public and private economy. And there is a certain degree of private initiative that’s left in the hands of entrepreneurs and business leaders and even trade unions."(tiré de Michael Ledeen on Fascist China, Epoch Times) Ledeen a consacré ses 15 premières années de travail à l'étude du fascisme (Michael Ledeen on Fascism & War on Terror on National Review Online).
En France, on dénombre aussi une bonne quantité de néo-conservateurs à la solde de l'atlanto-sionisme. Prenons par exemple Bernard Henri Lévy qui s'époumone à dénoncer le "fascislamisme" (voir les vidéos suivants: "Fascislamism" by Bernard-Henri Lévy et BHL contre le fascisme) C'est une constante évidente chez les néo-conservateurs: tous pro-fascistes en ce qui concerne Israël, mais anti-fascistes lorsque vient le temps de réclamer des guerres pour abattre "les bourreaux de la liberté et de la démocratie", c'est-à-dire tous ceux qui osent leur tenir tête!
En France, on dénombre aussi une bonne quantité de néo-conservateurs à la solde de l'atlanto-sionisme. Prenons par exemple Bernard Henri Lévy qui s'époumone à dénoncer le "fascislamisme" (voir les vidéos suivants: "Fascislamism" by Bernard-Henri Lévy et BHL contre le fascisme) C'est une constante évidente chez les néo-conservateurs: tous pro-fascistes en ce qui concerne Israël, mais anti-fascistes lorsque vient le temps de réclamer des guerres pour abattre "les bourreaux de la liberté et de la démocratie", c'est-à-dire tous ceux qui osent leur tenir tête!
Ouverture
S'il n'y a qu'une seule leçon à tirer de ce portrait peu enjôleur de la réalité néo-conservatrice, c'est bien celle-ci: gare aux anti-fascistes qui stigmatisent sans arrêt "l'islamo-fascisme" et les "tyrans" justifiant des guerres impérialistes qui n'en finissent plus sous prétexte de défendre la liberté et la démocratie, car il s'agit en fait pour eux de répandre aux quatre coins du globe la plus odieuse tyrannie que l'humanité ait jamais connu.
Pour plus de documentation sur les origines juives, trotskistes et sionistes des néo-conservateurs, voir:
Edmund Connelly Naming Neocons (Jan 22 2008)
Prof. Kevin MacDonald, Neoconservatism as a Jewish Movement
Michael Collins Piper, The High Priests of War: How America’s “Neo-Conservative” Trotskyites Came to Power and Orchestrated the War Against Iraq as the First Step in Their Drive for Global Empire (lire l'intro et des extraits; section photo)
Michael Collins Piper, The New Babylon: A Panoramic Overview of the Historical, Religous and Economic Origins of the New World Order (2009)
Michael Collins Piper, The Judas Goats -- The Enemy Within: The Shocking Story of the Infiltration and Subversion of the American Nationalist Movement (lire l'intro et des extraits;section photos) (scribd)
Michael Collins Piper, The New Jerusalem: Zionist Power in America (according to jewish sources) (lire l'intro et des extraits)
Derrière Northwoods: Israël et "l'équipe B" (néocons)
James Petras lève le voile sur les agents sionistes responsables de la guerre en Irak et du scandale d'espionnage à l'AIPAC
The Source of America’s Wars – Kristol Clear [VIDEO] (Richard Cohen called the war in Iraq: "Kristol's War")
takeourworldback.com Ligne du temps du 11 septembre
takeourworldback.com Sionistes, psychopathes et 11 septembre
takeourworldback.com A Comprehensive History of Zionist Crimes
takeourworldback.com How to Achieve Total World Domination - over 1,250 to 6,000 Years / Concise version
VIDEO - Willis Carto explique la ploutocratie médiatique des Bronfman
VIDEO - War Made Easy: propagande guerrière
AUDIO - Michael Collins Piper explique la nouvelle Babylone
AUDIO - Les dessous de l'empire Rothschild, les nouveaux pharisiens. Entrevue avec Michael Collins Piper
03/26/03
This War is for Us
by Ariel Natan Pasko
http://www.israelnationalnews.com/Articles/Article.aspx/2125
[Traduction: Arrêtez-vous et réfléchissez un moment: la dernière Guerre du Golfe en 1991 s'est terminée le jour d'erev - juste avant - Pourim . La présente Guerre en Irak a débuté le jour de motzei - juste après - Shushan Pourim.]
Stop and think for a moment: the last Gulf War in 1991 ended erev - just before - Purim. This Gulf War began motzei - just after - Shushan Purim. Get the picture? In between, "The Jews had light, and gladness, and joy, and honor." (Book of Esther 8:16)
Of course this war against Iraq and Saddam Hussein is for us. Even the anti-Semites, like Patrick J. Buchanan and Congressman Jim Moran know it. (...)
However, we already knew that this war is for us - i.e., the Jews and Israel. Chazal - our sages - throughout the ages have explained the Torah, telling us that everything that happens in the world is for the benefit of the Jewish People.
(...)Read the Purim story in Megilat Esther again, it is a rags to riches story on a national scale. Haman, the proto-typical anti-Semite, plans mass murder of the Jews and in the end pays with his life, the life of his ten sons - all hanged - and the Jews kill 75, 800 members of the anti-Semitic - i.e. Nazi - party of the time.
This is not so different from the Nuremberg Trials after World War II, when 23 Nazi war criminals were tried. Originally 11 were to have the death penalty imposed if found guilty. Everybody in those days thought that they would be shot - as is customary in military executions - or get the electric chair - as was common in the United States. But when the judges announced the verdict of guilty, they also said that hanging would be the method of execution. Two hours before the execution, they found Hermann Goering dead in his cell. He had committed suicide. That left only 10 Nazis to execute.
There is more to this story than meets the eye. In Megilat Esther (9:7-9), when it describes the execution of Haman's ten sons, their names are listed in a vertical column. If you look at the Hebrew closely, you'll notice extra-small letters in three of the names. The first name, Parshandata, has a small tav. The seventh name, Parmashta, has a small shin. The tenth name, Vayzata, has a small zayn. Hebrew letters are also used as numbers, as well as for dates in the Jewish calendar. Tav, shin, zayn numerically means 707, corresponding to the year 5707, which began with Rosh HaShanah - the Jewish New Year - on September 25, 1946. On October 16, 1946, as foreshadowed in the names of Haman's ten sons, ten Nazi leaders were hanged as war criminals. And if that doesn't impress you, out of nowhere, with the rope around his neck, Julius Schtreicher - editor of Der Sturmer, the Nazi propaganda newspaper - shouted out with flaming hatred in his eyes, just as the trap door opened, "Purimfest 1946!" It was reported in the international press of the day.
As I said earlier, of course this war is for the Jews and Israel, and instead of hiding from the accusation, or crying, "anti-Semitic slur", we should gratefully acknowledge what the Master of the Universe is doing to our enemies for us. Saddam Hussein, Yasser Arafat, Bashar Assad, Osama Bin-Laden, and the other dictators, terrorists and mullahs of the region, are the modern day Hamans and Hitlers.(...)
Yes, the war is for the Jews. But it is also for all decent, peace-loving and freedom-loving people. Just as when the Jews were saved from Egyptian slavery, liberated, given the Torah at Mt. Sinai, and brought into the Holy Land, the world now has a great opportunity to rid itself of the Hamans, Hitlers, and Pharaohs who want to kill or enslave them today.(lire la suite...)
Rabbis: Purim, Iraq war linked
by Joe Berkofsky · March 18, 2003
http://jta.org/news/article/2003/03/18/10067/Forrabbisit8217
(...) Blu Greenberg, an Orthodox feminist leader based in New York, supports the Bush administration’s campaign against Iraq as a “preventive war,” much as the ancient Jews defended themselves against Haman’s plot to destroy them.(...)
Rabbi Martin Weiner of San Francisco, outgoing president of the Reform movement’s rabbinical union, the Central Conference of American Rabbis, used Shabbat Zachor todraw a line from Amalek to Hitler to Saddam. A modern-day Amalek, Saddam has attacked four of his neighbors, gassed tens of thousands of his own people and pays stipends to suicide bombers, Weiner said, so “it’s terribly important to remove him.” Last September, Weiner was among those who backed a resolution from theReform movement’s Union of American Hebrew Congregations urging a pre-emptive strike against Iraq, if Congress supported it and U.N. backing was sought. But for Reform Rabbi Don Rossoff, of Temple B’nai Or in Morristown, N.J., Amalek casts a very different shadow. Rossoff said he has refrained from publicly sermonizing this Purim about the war, which he opposes, because he is “haunted by Baruch Goldstein, who called the Arabs Amalek.” Goldstein, a doctor in an Israeli settlement near the West Bank city of Hebron, shot to death 29 Palestinianspraying in Hebron’s Tomb of the Patriarch on Purim Day in 1994. Saddam is “a tyrannical, murderous dictator” who “ would probably wipe out Israel if he could,” Rossoff added. “But he’s not the only one around. His name just starts with ‘H,’ ” like Haman.(...)
Pendaison de Saddam "Haman" Hussein
Pendaison du légendaire Haman
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