vendredi 14 septembre 2012

Les Etats-Unis continu à être pris au piège par la tribu sioniste.


PRESQUE TOUT SUR LE 11 SEPTEMBRE, JUSQU’À DIMANCHESHOAH HEBDO


Différents témoins à Benghazi ont confirmé que les commandos qui ont attaqué le convoi américain avaient des casques de vision nocturne, des armes guidées par laser hautement sophistiqués et les guides GPS, ils étaient habillés comme des unités des forces spéciales de l'OTAN, comme ceux opérant à Benghazi à la frontière égyptienne.
Ces témoignages confirment :
·              Qu'aucun des assaillants ne parlaient l'arabe dialectal de la région,
·              Ils ont quitté la scène très rapidement.
·              Les différentes factions de Benghazi sont formés et supervisés par le
Pentagone et ne portent jamais de tel habit ni de tel équipement.
·              Seule les Français et les Britanniques sont habillés de cette façon dans la
région.
·              Aucun des groupes à Benghazi n’a la capacité de retracer si facilement
de telle cibles , sinon ils auraient tué Kadhafi sans l'aide de l'OTAN.
Les Principaux suspects sont les Israéliens, car Obama refuse toujours de rencontrer Netanyahu.
Israël alimente les pays occidentale avec l'islamophobie .
Elle utilise ce film Comme elle l’a fait en 2007 avec les dessins animés de provocation sioniste …
Israël et la tribu sioniste ont perdu la bataille de renseignement et d’influance sur ​​le Moyen-orient.
Cette nouvelle vague de provocations est conçue pour alimenter la haine contre les musulmans aux Etats-Unis, et de remettre l'agenda israélien sur la table, ceci 7 semaines avant les élections présidentielles.
Israël démontre par cet acte barbare qu’elle est devenue capable de déclencher des attaques graves contre l'armée américaine au Moyen-Orient. Elle n'a plus besoin des États-Unis pour se mêler des affaires de la Libye, comme c’était le cas au Liban en 1982. 


LOS ANGELES, 13 septembre (Reuters) - Une actrice californienne qui apparaît dans la vidéo anti-islam à l'origine de violentes manifestations dans le monde musulman affirme avoir été trompée sur la véritable nature du film. 
Cindy Lee Garcia, de Bakersfield (Californie), a précisé avoir répondu l'an dernier à une annonce pour un film intitulé "Desert Warrior" ("Le guerrier du désert"). 

"Tout cela me paraît irréel, c'est comme s'il ne restait rien de ce que nous avons tourné", a-t-elle dit à Reuters dans une interview téléphonique. 
Le film s'appelle finalement "Innocence of Muslims" ("L'innocence des musulmans"), et présente le prophète Mahomet comme un imbécile, un homme à femmes et un imposteur. 

Diffusé depuis plusieurs semaines sur internet, il aurait été produit par un promoteur immobilier israélo-américain qui vit en Californie, un certain Sam Bacile, peut-être un pseudonyme. 

Cindy Lee Garcia a précisé que le film, qui aurait coûté 5 millions de dollars en partie versés par une centaine de donateurs juifs, avait été tourné durant l'été 2011 à l'intérieur d'une église proche de Los Angeles. 

Les acteurs, qui étaient une cinquantaine, jouaient devant un "écran vert", sur lequel devaient être fixés plus tard les décors. 

"Desert Warrior" était présenté comme un film historique à petit budget se déroulant dans le désert d'Arabie. Dans la fiche de distribution retrouvée sur Backstage.com, aucun personnage n'est désigné sous le nom de Mahomet. 

"On m'a dit que c'était un film sur l'époque du Christ, il y a deux mille ans", a précisé l'actrice. 

"MAÎTRE GEORGES" DEVIENT "MAHOMET" 

Dans la fiche technique apparaît le nom de Sam Bassiel, proche de celui du producteur supposé. Le nom du réalisateur est Alan Roberts. Steven Klein, un assureur de Hemet (Californie) qui se présente comme consultant et porte-parole de la production du film, affirme qu'il a conseillé au réalisateur de se cacher. 

Selon le groupe Southern Poverty Law Center, qui combat les extrémismes, Klein est un chrétien lié à des milieux d'extrême droite. 

Steven Klein a évoqué une tentative de projeter le film dans un cinéma du sud de la Californie, avec un titre légèrement différent, mais qu'une demi-heure après le début de la projection aucun billet n'avait été vendu. 

Cindy Lee Garcia a raconté que dans le film le personnage qu'elle jouait était obligé dans une scène de remettre son enfant à un certain "Maître Georges". 

La fiche du film décrit ce "Maître Georges" comme un "dirigeant autoritaire" et un "tyran". En fait, ce personnage est censé représenter le prophète Mahomet dans la vidéo. 

L'actrice a ajouté que le producteur du film, qu'elle appelle Sam Bassil, était un homme âgé, les cheveux grisonnants, avec un accent. Il l'a payée avec un chèque. 

"Je lui ai téléphoné mercredi et lui ai demandé pourquoi il avait fait cela. Il m'a mis dans une situation affreuse, des gens sont tués à cause d'un film dans lequel je joue", a-t-elle dit. 

YouTube, le site vidéo appartenant à Google, a restreint l'accès au film en Libye et en Egypte. (Alex Dobuzinskis, Guy Kerivel pour le service français) 

La CIA a-t-elle ordonné à Jones de provoquer les Musulmans ?

Terry Jones. D. R.
Terry Jones. D. R.
Il est difficile de croire que le pasteur extrémiste américain Terry Jones n’agit pas dans le cadre d’une mission «commandée». Après avoir défrayé la chronique en menaçant de brûler le Coran un 11 septembre, date anniversaire du double attentat de New York, le voici qui refait son apparition, à quelques jours de ce même anniversaire morbide, aux côtés du réalisateur d’un film insultant pour l’islam et le prophète Mohamed. Y a t-il des groupes occultes aux Etats-Unis qui poussent à une confrontation généralisée entre musulmans d’un côté et juifs et chrétiens de l’autre ? Veut-on provoquer de nouvelles croisades sous divers prétextes en appui à la nouvelle politique américaine de démembrement du monde arabe ? Terry Jones serait-il «mandaté» par la CIA pour justifier une invasion de la Libye par les troupes américaines défaites ailleurs, en Afghanistan, en Somalie et en Irak ? Des interrogations que beaucoup se posent, d’autant plus que les provocations de Terry Jones semblent être ourdies avec minutie, même si le film qui a induit la mort de quatre diplomates américains, avant-hier à Benghazi, est médiocre, selon les critiques de cinéma. Bien que banal, le film réalisé par l’israélo-américain Sam Basile a fait mouche. Le but est donc atteint. Les provocations de Terry Jones sont toujours suivies d’émeutes, de menaces de mort et, surtout, de saccage d’ambassades américaines dans plusieurs capitales arabes et musulmanes. Des événements que Washington s’empresse de faire suivre par des mises en garde à l’adresse de ses citoyens pour ne pas se rendre dans ces pays. Les scènes de violence qui suivent les machinations sataniques de ce pasteur sont évidemment relayées en boucle par les grands médias mondiaux, qui montrent des musulmans en furie, donc violents et «peu civilisés». Ces atteintes répétées à l’islam, et plus précisément au Prophète, attisent la haine entre les communautés musulmane et chrétienne jusque dans les pays où ces deux religions cohabitent pacifiquement. La guerre civile qui ronge la Syrie depuis près de deux ans, faisant craindre un éclatement des différentes communautés qui le forment, pourrait s’inscrire dans le prolongement de ce plan des services américains, laisse-t-on entendre. L’affaire de Benghazi sera-t-elle le prélude à un conflit ouvert entre l’armée américaine embourbée dans plusieurs guerres qu’elle peine à gérer et les décideurs politiques américains inféodés à des lobbies religieux et liés à des intérêts occultes ?
Sarah L.

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